Author: Meykandar

  • SECTION – II : Le Tattuvam subordonné

    1. Puranilei-Karuvikal (புறநிலைக் கருவிகள்), les instruments externes (ou visibles), développés à partir des éléments.

    De piruthuvi, terre, printemps, ces cinq, c’est-à-dire : cheveux; os; peau; nerfs et tendons; muscle.

    De l’appu, de l’eau, les cinq suivants surgissent, à savoir: les sécrétions aqueuses, telles que les larmes, les mucosités, le cérumen, le sérum, etc., le sang rouge; le sperme; le cerveau, la moelle, la graisse, etc., les excroissances, telles que les verrues, les taupes, la chair blanche, etc.

    À partir de teyu, le feu est développé les cinq Tattuvam suivants, à savoir; appétit, sommeil, peur, plaisir sexuel; béant; étirement, etc.

    De vayu, l’air, émanent les cinq Tattuvam suivants, à savoir : courir, s’asseoir en marchant, s’allonger, se tenir debout.

    Note : Ceux-ci forment ce qui est censé être les organismes de liaison, situés entre l’âme et les autres Tattuvam, et qui sont essentiels à l’existence des phénomènes animaux nommés.

    De l’akasam, l’éther, sont produits les cinq Tattuvam suivants, à savoir : ceux qui incitent à la luxure ; aux actes bons et mauvais envers les autres ; au don et à la retenue ; au désir en général ; à l’admiration, à la surprise, etc.

    En tout, il y en a vingt-cinq.

    II. Tesa-Vayukal (தெச வாயுகள்), les Dix Airs Vitaux (ou esprits animaux), à savoir :

    1. Piranan (பிராணன்) ce qui provoque la respiration, et maintient toutes les actions vitales.
    2. Apanan (அபானன்) ce qui sépare les excréments et les matières urinaires, et incite à les annuler.
    3. Uthanan (உதானன்) ce qui provoque des hoquets, des étranglements, etc.
    4. Viyanan (வியானன்) ce qui absorbe et distribue le chyle.
    5. Samanan (சமானன்) celui qui assure les proportions dues dans les différentes parties du corps.
    6. Nakan (நாகன்) ce qui produit de la toux, des éternuements, etc.
    7. Kurman (கூர்மன்) ce qui produit l’étirement béant de flexion, etc.
    8. Kirutharan (கிருதரன்) ce qui ouvre et ferme les yeux, ou clin d’œil.
    9. Tevatattan (தேவதத்தன்) ce qui provoque le rire, le sourire, etc.
    10. Tananycheyan (தனஞ்செயன்) ce qui provoque un gonflement du corps avant et après la mort, et qui enfin fend la tête, (crâne) et s’échappe.

    Note : Ces dix sont tous développés à partir de l’air Element. Les auteurs diffèrent quelque peu en ce qui concerne leurs pouvoirs ou leurs fonctions. Les spécifications ci-dessus sont les plus courantes et proviennent d’autres autorités en tamoul. Notre auteur ne donne que les termes, laissant au Guru le soin de communiquer leur signification. Ces Airs sont évidemment un dispositif pour alimenter la place des nerfs involontaires.

    III. Vasanathikal (வசனாதிகள்), les cinq Airs Vitaux (ou esprits animaux).

    Ceux-ci sont;

    1. Vasanam (வசனம்), Discours
    2. kemanam (கெமனம்), loco-motion
    3. tanam (தானம்), donnant
    4. vikarpam (விகற்பம்), excrétion
    5. anantam (ஆனந்தம்), plaisir sexuel

    Note : Il s’agit d’une classe d’Airs qui opèrent exclusivement sur les cinq organes d’Action. Ils semblent être, dans leurs fonctions, ce que nous devrions appeler des pouvoirs nerveux volontaires. Ils accomplissent les fonctions de ce que Locke appelle des « esprits nerveux ou animaux », transmettant au « siège de la sensation » « un mouvement » qui a été produit par des « corps imperceptibles isolés » qui procèdent d’objets de sens ; et, aussi, transmettre les commandements de l’âme aux Organes d’Action.

    IV. Tesa-Nadi (தெச நாடி), les Dix Tubes (ou organes tubulaires).

    Il s’agit de :

    1. idei (இடை)
    2. pingkalei (பிங்கலை)
    3. sulimunei (சுழிமுனை)
    4. kantari (காந்தாரி)
    5. atti (அத்தி)
    6. singnguvei (சிங்ஙுவை)
    7. alampurudei (அலம்புருடை)
    8. purudan (புருடன்)
    9. sangkini (சங்கினி)
    10. vayiravan (வயிரவன்)

    Note : Les Nadi sont les canaux des Airs. Ils se ramifient en soixante-douze mille branches et imprègnent chaque partie du microcosme humain. Je donne, d’autres auteurs tamouls, un bref aperçu du principal Nadi et de certaines de leurs principales branches.

    Idei-nadi s’élève dans le côté gauche du bassin inférieur, d’où il passe en deux branches, l’une courant vers le haut, et l’autre le long de la jambe gauche jusqu’au grand orteil.

    Pingkalei-nadi s’élève dans le côté droit du bassin inférieur où il se divise en deux parties, l’une courant vers le haut, et l’autre vers le bas de la jambe droite jusqu’au grand orteil.

    Sulimunei-nadi s’élève ab anop et procède ad genitalia, où il entoure plusieurs fois, le mystique Om (ஓம்), symbole des pouvoirs productifs de la Déité; de là sa partie principale, appelée nilam (நீளம்), court directement à la tête. C’est le Maka-Meru (மகாமேரு), ou la Montagne d’Or, dans le microcosme humain.

    Les branches ascendantes de l’idei et du pingkalei courent en diagonale et se rencontrent dans les organes génitaux, où elles encerclent le sulimunei formant une arche au-dessus d’Om. C’est le siège ou le trône de Brahma.

    Ces deux Nadi avancent de là en diagonale sur les côtés du bassin, et reviennent et se rencontrent dans la région du nombril, où ils encerclent à nouveau sulimunei, formant une arche ou un auvent. C’est le siège de Vishnu.

    En continuant de là en diagonale vers le haut, comme auparavant, ces Nadi se rencontrent dans la région du cœur, ou, plutôt, comme la localité est décrite, dans l’estomac, où ils encerclent sulimunei, formant un autre atharam (ஆதாரம்), siège. C’est le trône de Ruttiran ou Sivan.

    Puis procédant comme avant, ils se rencontrent et encerclent sulimunei à l’arrière du cou. Cela forme le siège de Mayesuran (மயேசுரன்).

    Encore une fois, en passant comme avant, ils se rencontrent dans le front entre les sourcils. « Dans cette région de lumière », ils forment le trône de l’Illuminateur, Sathasivan (சதாசிவன்).

    De là, ils se dirigent vers les narines et s’y terminent.

    Les différents cercles décrits ci-dessus, traversés par des sulimunei, forment dans chaque cas un Lingam (இலிங்கம்), ou, qui est ici sensiblement le même qu’un Om. Ces symboles constituent un grand élément dans les doctrines mystiques et le culte de toutes les sectes hindoues.

    • Kandari-nadi s’élève dans la région du cœur, à partir de sulimunei, et se termine dans les yeux.
    • Atti-nadi s’élève de sulimunei, dans la région du cœur, et ramifiant dans plusieurs directions, se termine dans les os.
    • Singnguvei-nadi bifurque de sulimunei, dans la région du cœur, et se termine dans la langue.
    • Alampurudei-nadi jaillit de sulimunei, dans la rigion du cœur, et se termine dans les oreilles.
    • Puruda-nadi jaillit, dans la région du cœur, de sulimunei, et se ramifiant, se termine dans les bras, et dans les muscles qui soulèvent et déplacent les bras.
    • Sangkini-nadi s’élève de sulimunei, dans la région de l’ouïe, et faisant divers circuits, se termine dans genitalibus et ano.
    • Vayirava-nadi monte, et après avoir fait différents circuits, se termine, comme le Nadi précédent.

    Le lien des Dix Airs Vitaux avec ces Nadi, est ici très brièvement donné, par d’autres autorités.

    • Piranan, qui est à proprement parler l’Air vitalisant, et reste en action la vie blanche continue, court naturellement à travers sulimunei; mais lorsque le passage de ce Nadi est fermé, ce qui est le cas dans certains états du systerm, alors cet Air, fuyant des narines, passe autour du crâne ou du cerveau, puis descend, parfois par idei,  et parfois par pingkalei.
    • Lorsque le piranan procède par idei, ou pingkalei, puis apanan descend par vayiravan, et décharge l’urine et les matières fécales.
    • Uthanan procède par atti au cou, arrête ou vérifie piranan, et provoque des hoquets, des étouffements, et un gonflement ou un arrêt dans la trachée.
    • Viyanan traverse le kantari, provoque l’énonciation de la bouche et disperse le chyle en soixante-dix mille vaisseaux sanguins.
    • Samanan coule à travers le sangkini, se mêle au contenu du cœur et donne une symétrie au corps.
    • Nakan coule le long de l’alampurudei et, au moyen du cerveau, provoque des éternuements.
    • Kurman coule le long du purudan, et saisir les bras et les lèvres provoque des étirements et des béances.
    • Kirutharan court le long de singnguvei, saisit les paupières et provoque des clins d’œil.
    • Tevatattan coule le long du sangkini, traverse le visage, illumine le visage et provoque des rires, etc.
    • Tanagncheyan cours ou se tient dans la peau, et à la mort, quand les autres Airs cessent, gonfle et casse la peau.

    V. Les quatre vakku (வாக்கு).

    Il s’agit de :

    1. sukkumei (சூக்குமை)
    2. peisanti (பைசந்தி)
    3. mattimei (மத்திமை)
    4. veikari (வைகரி)

    Note : Ceux-ci constituent les bases organiques des idées et du langage intelligents, tels qu’ils sont posés dans le microcosme humain. Ils seront expliqués ci-dessous.

    VI. Mukkunam (முக்குணம்), les trois kunam, Propriétés morales.

    Il s’agit de :

    1. Sattuvikam (சாத்துவிகம்)
    2. rasatham (இராசதம்)
    3. tamatham (தாமதம்)

    Note : Le terme kunam (குணம்) désigne la qualité, le tempérament, la disposition, etc. Mais dans ce système, c’est une chose, une existence matérielle, la source de qualités morales. Selon un autre auteur tamoul, les Trois Kunam sont expliqués comme suit.

    Sattuvikam (lit. bonté) incite au gnanam, à la sagesse divine; à l’observance correcte des règles et des cérémonies à la vérité; et à l’amour.

    Rasatham (litt. passion, ou disposition nauséabonde) produit l’orgueil et l’égoïsme – possède les propensions à l’orgueil et à l’égoïsme.

    Tamatham (litt. obscurité) incite à la stupidité, à la paresse et au sommeil.

    Leurs relations et leurs fonctions dans le système humain seront expliquées plus en détail ci-après.

    VII. Les trois Akangkaram (அகங்காரம்), c’est-à-dire ;

    1. teisatham (தைசதம்)
    2. veikari (வைகரி)
    3. puthathi (பூதாதி).

    Ceux-ci complètent les quatre-vingt-seize Tattuvam.

    Note : Le terme akangkaram signifie fierté, ou un sens de l’individualisme de soi. Dans le cas qui nous occupe, il s’agit d’un organisme; et, dans son triple développement et ses relations dans le système humain, fonctionne différemment, comme on le verra dans d’autres parties de ce traité.


  • SECCIÓN – II: El Tattuvam Subordinado

    1. Puranilei-Karuvikal (புறநிலைக் கருவிகள்), instrumentos externos (o visibles), desarrollados a partir de los elementos.

    De piruthuvi, tierra, primavera, estos cinco, es decir: cabello; huesos; piel; nervios y tendones; músculo.

    Del appu, agua, surgen los siguientes cinco, a saber: secreciones acuosas, como lágrimas, flema, cerumen, suero, etc., sangre roja; esperma; cerebro, médula, grasa, etc., crecimientos, como verrugas, lunares, carne blanca, etc.

    A partir del teyu, el fuego se desarrolla los siguientes cinco Tattuvam, a saber; apetito, sueño, miedo, placer sexual; boquiabierto; estiramiento, etc.

    De vayu, el aire, emanan los siguientes cinco Tattuvam, a saber: correr, sentarse mientras camina, acostarse, de pie.

    Nota: Estos forman lo que se supone que son los organismos de conexión, ubicados entre el alma y el otro Tattuvam, y que son esenciales para la existencia de los fenómenos animales nombrados.

    Del akasam, el éter, se producen los siguientes cinco Tattuvam, a saber: los que incitan a la lujuria; las buenas y malas acciones hacia los demás; el don y la moderación; el deseo en general; la admiración, la sorpresa, etc.

    En total, hay veinticinco.

    II. Tesa-Vayukal (தெச வாயுகள்), los Diez Aires Vitales (o espíritus animales), a saber:

    1. Piranan (பிராணன்) que causa la respiración y mantiene todas las acciones vitales.
    2. Apanan (அபானன்) que separa las heces y la materia urinaria, y anima a cancelarlas.
    3. Uthanan (உதானன்) que causa hipo, estrangulamientos, etc.
    4. Viyanan (வியானன்) que absorbe y distribuye el quilo.
    5. Samanán (சமானன்) el que asegura las proporciones debidas en las diferentes partes del cuerpo.
    6. Nakan (நாகன்) que produce tos, estornudos, etc.
    7. Kurman (கூர்மன்) que produce el tramo abierto de flexión, etc.
    8. Kirutharan (கிருதரன்) que abre y cierra los ojos, o guiño.
    9. Tevatattan (தேவதத்தன்) que causa risas, sonrisas, etc.
    10. Tananycheyan (தனஞ்செயன்) que causa hinchazón del cuerpo antes y después de la muerte, y que finalmente divide la cabeza (cráneo) y escapa.

    Nota: Estos diez están desarrollados a partir del Elemento Aire. Los autores difieren un poco en términos de sus poderes o funciones. Las especificaciones anteriores son las más comunes y provienen de otras autoridades en tamil. Nuestro autor solo da los términos, dejando que el Gurú comunique su significado. Estos Aires son obviamente un dispositivo para alimentar el lugar de los nervios involuntarios.

    III. Vasanathikal (வசனாதிகள்), los cinco Aires Vitales (o espíritus animales).

    Estos son;

    1. Vasanam (வசனம்), Discurso
    2. kemanam (கெமனம்), loco-movimiento
    3. tanam (தானம்), dando
    4. vikarpam (விகற்பம்), excreción
    5. anantam (ஆனந்தம்), placer sexual

    Nota: Esta es una clase de Aires que operan exclusivamente en los cinco órganos de Acción. Parecen ser, en sus funciones, lo que deberíamos llamar poderes nerviosos voluntarios. Realizan las funciones de lo que Locke llama “espíritus nerviosos o animales”, transmitiendo al “asiento de la sensación” “un movimiento” que ha sido producido por “cuerpos aislados imperceptibles” que proceden de objetos de significado; y, también, transmitir los mandamientos del alma a los Órganos de Acción.

    IV. Tesa-Nadi (தெச நாடி), los Diez Tubos (u órganos tubulares).

    Estos son:

    1. idei (இடை)
    2. pingkalei (பிங்கலை)
    3. sulimunei (சுழிமுனை)
    4. kantari (காந்தாரி)
    5. atti (அத்தி)
    6. singnguvei (சிங்ஙுவை)
    7. alampurudei (அலம்புருடை)
    8. purudan (புருடன்)
    9. sangkini (சங்கினி)
    10. vayiravan (வயிரவன்)

    Nota: Los Nadi son los canales de las Aires. Se ramifican en setenta y dos mil ramas e impregnan cada parte del microcosmos humano. Doy, de otros autores tamiles, una breve reseña de los principales Nadi y algunas de sus principales ramas.

    Idei-nadi se eleva en el lado izquierdo de la pelvis inferior, desde donde pasa en dos ramas, una que corre hacia arriba y la otra a lo largo de la pierna izquierda hasta el dedo gordo del pie.

    Pingkalei-nadi se eleva en el lado derecho de la pelvis inferior, donde se divide en dos partes, una que corre hacia arriba y la otra hacia abajo desde la pierna derecha hasta el dedo gordo del pie.

    Sulimunei-nadi se levanta ab anop y procede ad genitalia, donde rodea varias veces, el místico Om (ஓம்), símbolo de los poderes productivos de la Deidad; de ahí que su parte principal, llamada nilam (நீளம்), corra directamente a la cabeza. Es el Maka-Meru (மகாமேரு), o la Montaña Dorada, en el microcosmos humano.

    Las ramas ascendentes del idei y el pingkalei corren diagonalmente y se encuentran en los genitales, donde rodean los sulimunei formando un arco sobre Om. Es la sede o trono de Brahma.

    Estos dos Nadi avanzan desde allí diagonalmente a los lados de la cuenca, y regresan y se encuentran en la región del ombligo, donde vuelven a rodear sulimunei, formando un arco o toldo. Es la sede de Vishnu.

    Continuando desde allí diagonalmente hacia arriba, como antes, estos Nadi se encuentran en la región del corazón, o, más bien, como se describe la localidad, en el estómago, donde rodean sulimunei, formando otro atharam (ஆதாரம்), asiento. Este es el trono de Ruttiran o Sivan.

    Luego, como antes, se encuentran y rodean sulimunei en la parte posterior del cuello. Esto forma la sede de Mayesuran (மயேசுரன்).

    De nuevo, pasando como antes, se encuentran en la frente entre las cejas. “En esta región de luz, forman el trono del Iluminador, Sathasivan (சதாசிவன்).

    Desde allí, se dirigen a las fosas nasales y terminan allí.

    Los diferentes círculos descritos anteriormente, atravesados por sulimunei, forman en cada caso un Lingam (இலிங்கம்), o, que aquí es sustancialmente lo mismo que un Om. Estos símbolos constituyen un gran elemento en las doctrinas místicas y la adoración de todas las sectas hindúes.

    • Kandari-nadi se eleva en la región del corazón, desde sulimunei, y termina en los ojos.
    • Atti-nadi se eleva desde sulimunei, en la región del corazón, y se ramifica en varias direcciones, termina en los huesos.
    • Singnguvei-nadi se ramifica desde sulimunei, en la región del corazón, y termina en la lengua.
    • Alampurudei-nadi brota de sulimunei, en el rigion del corazón, y termina en los oídos.
    • Puruda-nadi brota, en la región del corazón, de sulimunei, y ramificado, termina en los brazos, y en los músculos que levantan y mueven los brazos.
    • Sangkini-nadi se eleva desde sulimunei, en la región de la audición, y haciendo varios circuitos, termina en genitalibus y ano.
    • Vayirava-nadi sube, y después de hacer diferentes circuitos, termina, como el Nadi anterior.

    El vínculo de los Diez Aires Vitales con estos Nadi, es aquí muy brevemente dado, por otras autoridades.

    • Piranan, que es estrictamente hablando el Aire vitalizador, y permanece en acción la vida blanca continúa, corre naturalmente a través de sulimunei; pero cuando el paso de este Nadi se cierra, que es el caso en algunos estados del systerm, entonces este Aire, huyendo de las fosas nasales, pasa alrededor del cráneo o el cerebro, luego desciende, a veces por idei,   y a veces por pingkalei.
    • Cuando el piranano procede por idei, o pingkalei, entonces el apanan desciende por vayiravan, y descarga orina y heces.
    • Uthanan procede por atti en el cuello, detiene o revisa el piranano, y causa hipo, asfixia e hinchazón o detención en la tráquea.
    • Viyanan pasa a través del kantari, causa la enunciación de la boca y dispersa el quilo en setenta mil vasos sanguíneos.
    • Samanán fluye a través del sangkini, se mezcla con el contenido del corazón y da simetría al cuerpo.
    • Nakan fluye a lo largo del alampurudei y, por medio del cerebro, causa estornudos.
    • Kurman fluye a lo largo del purudan, y agarrar los brazos y los labios causa estiramientos y brechas.
    • Kirutharan corre a lo largo de singnguvei, agarra los párpados y causa guiños.
    • Tevatattan fluye a lo largo del sangkini, cruza la cara, ilumina la cara y causa risas, etc.
    • Tanagncheyan corre o se para en la piel, y hasta la muerte, cuando los otros Aires se detienen, se hinchan y rompen la piel.

    V. Los Cuatro Vakku (வாக்கு).

    Estos son:

    1. sukkumei (சூக்குமை)
    2. peisanti (பைசந்தி)
    3. mattimei (மத்திமை)
    4. veikari (வைகரி)

    Nota : Estos forman la base orgánica de las ideas y el lenguaje inteligentes, ya que se establecen en el microcosmos humano. Se explicarán a continuación.

    VI. Mukkunam (முக்குணம்), los tres kunam, Propiedades Morales.

    Estos son:

    1. Sattuvikam (சாத்துவிகம்)
    2. rasatham (இராசதம்)
    3. tamatham (தாமதம்)

    Nota: El término kunam (குணம்) se refiere a la calidad, el temperamento, la disposición, etc. Pero en este sistema, es una cosa, una existencia material, la fuente de las cualidades morales. Según otro autor tamil, los Tres Kunam se explican de la siguiente manera.

    Sattuvikam (lit. bondad) incita al gnanam, a la sabiduría divina; a la correcta observancia de las reglas y ceremonias a la verdad; y al amor.

    Rasatham (lit. pasión, o disposición nauseabunda) produce orgullo y egoísmo – posee las propensiones al orgullo y al egoísmo.

    Tamatham (lit. oscuridad) incita a la estupidez, la pereza y el sueño.

    Sus relaciones y funciones en el sistema humano se explicarán con más detalle a continuación.

    VII. Los tres Akangkaram (அகங்காரம்), es decir;

    1. teisatham (தைசதம்)
    2. veikari (வைகரி)
    3. puthathi (பூதாதி).

    Estos completan el Noventa y seis Tattuvam.

    Nota: El término akangkaram significa orgullo, o un sentido de autoindividualismo. En este caso, se trata de una organización; y, en su triple desarrollo y sus relaciones en el sistema humano, funciona de manera diferente, como se verá en otras partes de este tratado.


  • SECCIÓN – I: Las Treinta y Seis Primarias Tattuvam

    Estos se dividen en tres clases, llamadas Attuma-Tattuvam; VittiyaTattuvam; Siva-Tattuvam.

    I. Attuma-Tattuvam (அத்துமா-தத்துவம்), El Tattuvam apropiado (o propiedades particulares) de las almas.

    NOTA – El término attuma es la forma adjetiva del nombre attumam (அத்துமம்), que significa alma, o, como nombre para multitud, almas.

    Estos Tattuvam también se llaman Asutta-Tattuvam (அசுத்த-தத்துவம்), el Tattuvam Impuro; y Pokkiya-Kandam (போக்கிய-காண்டம்), los Instrumentos del Placer.  Son veinticuatro de ellos, distribuidos de la siguiente manera.

    1. Los Cinco Putham (புதம்), Elementos, es decir,
      • piruthuvi (பிருதுவி), tierra;
      • appu (அப்பு), agua;
      • teyu (தேயு) fuego;
      • vayu (வாயு ), aire;
      • akasam (ஆகாசம்), éter.
    2. Los cinco Gnanentiriyam (ஞானேந்திரியம்), órganos perceptivos (o sentidos).  Estos son:
      • sottiram (சொற்றிறம்), orejas;
      • tokku (தொக்கு), piel;
      • sadchu (சட்சு), ojos;
      • singnguvei (சிங்ஙுவை), idioma;
      • akkiranam (அக்கிராணம்), nariz.
        • NOTA – Aunque estos Tattuvam se llaman así; sin embargo, no significan orejas visibles, piel, etc. La piel, la carne, los huesos, etc., se distinguen de estos órganos y se clasifican en subordinados de Tattuvam. Los términos aquí se refieren a aquellos organismos sutiles, pero materiales, o mecanismos invisibles, que poseen funciones implícitas.
    3. Los cinco Tanmattirei (தன்மாத்திரை), elementos rudimentarios, a saber:
      • sattam (சத்தம்), sonido;
      • parisam (பரிசம்) toque;
      • rupam (உரூபம்), forma;
      • rasam (இரசம்), sabor;
      • kantam (கந்தம்), olor.
        • NOTA – Estos Tattuvam son imperceptibles, excepto por los dioses, y por el sentido iluminado del Gnani, o Sabio. Sin embargo, son sustanciales, y a partir de ellos se desarrollan los elementos más gruesos, nombrados anteriormente. Son los sujetos, o receptores, de los arquetipos de sonido, tangibilidad, forma o color, sabor y olor, uno de los cuales se supone que está presente en cada acto de sensación. Estos arquetipos son algo más que cualidades. Son una especie de “efluvios corporales” o “imágenes exuviadas del cuerpo”, como los llamarían Empédocles y Demócrito.
    4. Los Cinco Kanmentiriyam (கன்மேந்திரியம்), Órganos de Acción, a saber:
      • vakku (வாக்கு), boca;
      • patham (பாதம்) pies;
      • pani (பாணி), manos;
      • payuru (பாயுறு), órganos excretores;
      • upattam (உபத்தம்), genitales.
        • NOTA – Estas, como el Tattuvam perceptivo, son las estructuras orgánicas internas, o imperceptibles, en las que los poderes operativos implícitos, o funciones, respectivamente aquí.
    5. Las cuatro Facultades Orgánicas Intelectuales Antakaranam (அந்தக்கரணம்), a saber:
      • manam (மனம்), entendimiento;
      • putti (புத்தி), la sentencia;
      • akangkaram (அகங்காரம்), individualidad;
      • sittam (சித்தம்), el testamento.
        • NOTA – Estos son órganos o facultades corporales, y no tienen vida, o poder para actuar, independientemente del alma. Independientemente de ellos, el alma no tiene vida intelectual ni acción. Por lo tanto, son sentidos intelectuales, que tienen una relación similar a la reflexión, que los cinco sentidos hacen con la percepción. Estos Tattuvam se explicarán con más detalle a continuación.

    II. Vittiya-Tattuvam (வித்தியாதத்துவம்).

    Hay siete de ellos, a saber:

    1. kalam (காலம்), tiempo;
    2. niyathi (நியதி), destino;
    3. kalei (கலை), continencia (autogobierno);
    4. vittei (வித்தை), pensamiento;
    5. rakam (இராகம்), deseo;
    6. purushan (புருஷன்), vida;
    7. mayei (மாயை), ilusión.

    Estos también se llaman Asutta-Tattuvam (அசுத்த-தத்துவம்), el Tattuvam Impuro; y Pokkiya-Kandam (போக்கிய-காண்டம்), los Instrumentos del Placer.

    Nota – Estos siete Tattuvam son esenciales para el hombre en su estado de probación; mientras que los Attuma Tattuvam son esenciales para su existencia animal e intelectual. Los Vittiya son del orden superior o Tattuvam, y actúan como impulsores y directores del alma en su organismo animal. Si bien guían el alma a través del mal y las buenas obras, y aseguran una experiencia dolorosa y agradable allí, a veces se les llama, como la primera clase de Tattuvam, que son los instrumentos de estos planes de acción y experiencia, Tattuvam impuro e Instrumentos de placer. Se les conoce como Vittiya, de vittei, que significa conocimiento, examen, etc., porque son esenciales para el pensamiento o conciencia propia del alma, en su estado disciplinario.

    III. Siva-Tattuvam (சிவா தத்துவம்), el Divino Tattuvam [o los desarrollos de la Deidad].

    Estos, cinco en número, también se llaman Pirera-Kandam (பிரேர காண்டம்), instrumentos operativos [o efectivos] y Sutta-Tattuvam (சுத்த த்துவம்), el Tattuvam puro.  Estos son:

    1. Sutta-Vittei (சுத்த வித்தை);
    2. Ichchuram (ஈச்சுரன்);
    3. Sathakkiyam (சாதாக்கியம்);
    4. Satti (சத்தி); y
    5. Sivam (சிவம்).

    Estos completan el Tattuvam primario treinta y seis.


    NOTA – El orden en que se desarrollan estos poderes divinos es el opuesto al que se dan aquí.   Sivam es la energía masculina de la divinidad desarrollada en un organismo material.   Satti es la Energía Femenina de la Deidad así desarrollada y organizada.   Sathakkiyam es la forma más elevada, u organismo, en el que se desarrollan ambas energías.   El icchuram es el organismo a través del cual se ejerce la agencia oscurecedora de la Deidad.   Sutta-Vittei es el poder de destrucción y reproducción; y cuando se desarrolla, aparece en las formas de Ruttiran o Sivan, Vishnu y Brahma. Las relaciones y funciones de estos se explicarán con más detalle a continuación.


  • SECTION – I : Les Trente-Six Tattuvam Primaires

    Ceux-ci sont divisés en trois classes, appelées Attuma-Tattuvam; VittiyaTattuvam; Siva-Tattuvam.

    I. Attuma-Tattuvam (அத்துமா-தத்துவம்), Le Tattuvam propre (ou propriétés particulières) des âmes.

    NOTE – Le terme attuma est la forme adjective du nom attumam (அத்துமம்), signifiant âme, ou, en tant que nom de multitude, âmes.

    Ces Tattuvam sont aussi appelés Asutta-Tattuvam (அசுத்த-தத்துவம்), l’Impure Tattuvam ; et Pokkiya-Kandam (போக்கிய-காண்டம்), les Instruments du plaisir.  Ils sont au nombre de vingt-quatre, répartis comme suit.

    1. Les cinq Putham (புதம்), Éléments, c’est-à-dire,
      • piruthuvi (பிருதுவி), terre;
      • appu (அப்பு), eau;
      • teyu (தேயு) feu;
      • vayu (வாயு ), air;
      • akasam (ஆகாசம்), éther.
    2. Les cinq Gnanentiriyam (ஞானேந்திரியம்), organes perceptifs (ou sens).  Il s’agit de
      • sottiram (சொற்றிறம்), oreilles;
      • tokku (தொக்கு), peau;
      • sadchu (சட்சு), yeux;
      • singnguvei (சிங்ஙுவை), langue;
      • akkiranam (அக்கிராணம்), nez.
        • NOTE – Bien que ces Tattuvam soient ainsi dénommés; pourtant, ils ne signifient pas les oreilles visibles, la peau, etc. La peau, la chair, les os, etc., se distinguent de ces organes et sont classés sous Tattuvam subordonnés. Les termes désignent ici ces organismes subtils, mais matériels, ou mécanismes invisibles, qui possèdent les fonctions implicites.
    3. Les cinq Tanmattirei (தன்மாத்திரை), éléments rudimentaires, à savoir:
      • sattam (சத்தம்), son;
      • parisam (பரிசம்) toucher;
      • rupam (உரூபம்), forme;
      • rasam (இரசம்), goût;
      • kantam (கந்தம்), odeur.
        • NOTE – Ces Tattuvam sont imperceptibles, sauf pour les dieux, et pour le sens illuminé du Gnani, ou Sage. Pourtant, ils sont substantiels, et à partir d’eux les éléments plus grossiers, nommés ci-dessus, sont développés. Ils sont les sujets, ou les destinataires, des archétypes du son, de la tangibilité, de la forme ou de la couleur, de la saveur et de l’odeur, dont l’un est censé être présent dans chaque acte de sensation. Ces archétypes sont quelque chose de plus que de simples qualités. Ils sont une sorte d’« effluvia corporelle », ou « images exuvies de corps », comme les appelleraient Empédocle et Démocrite.
    4. Les Cinq Kanmentiriyam (கன்மேந்திரியம்), Organes d’Action, à savoir :
      • vakku (வாக்கு), bouche;
      • patham (பாதம்) pieds;
      • pani (பாணி), mains;
      • payuru (பாயுறு), organes excréteurs;
      • upattam (உபத்தம்), organes génitaux.
        • NOTE – Ceux-ci, comme le Tattuvam perceptif, sont les structures organiques internes, ou imperceptibles, dans lesquelles les pouvoirs opératoires implicites, ou fonctions, respectivement ici.
    5. Les quatre Antakaranam (அந்தக்கரணம்), facultés organiques intellectuelles, à savoir:
      • manam (மனம்), la compréhension;
      • putti (புத்தி), le jugement;
      • akangkaram (அகங்காரம்), l’individualité;
      • sittam (சித்தம்), le testament.
        • NOTE – Ce sont des organes corporels ou des facultés, et n’ont pas de vie, ou de pouvoir d’agir, indépendamment de l’âme. Indépendamment d’eux, l’âme n’a pas de vie intellectuelle ou d’action. Par conséquent, ce sont des sens intellectuels, ayant une relation similaire à la réflexion, ce que les cinq sens font à la perception. Ces Tattuvam seront expliqués plus en détail ci-dessous.

    II. Vittiya-Tattuvam (வித்தியாதத்துவம்).

    Ceux-ci sont au nombre de sept, à savoir:

    1. kalam (காலம்), temps;
    2. niyathi (நியதி), destin;
    3. kalei (கலை), continence (autonomie gouvernementale);
    4. vittei (வித்தை), pensée;
    5. rakam (இராகம்), désir;
    6. purushan (புருஷன்), vie;
    7. mayei (மாயை), illusion.

    Ceux-ci sont autrement appelés Asutta-Tattuvam (அசுத்த-தத்துவம்), l’Impure Tattuvam; et Pokkiya-Kandam (போக்கிய-காண்டம்), les Instruments du Plaisir.

    NOTE -Ces sept Tattuvam sont essentiels à l’homme dans son état de probation; tandis que les Attuma Tattuvam sont essentiels à son existence animale et intellectuelle. Les Vittiya sont de l’ordre supérieur ou Tattuvam, et agissent comme prompteurs et directeurs de l’âme dans son organisme animal. Alors qu’ils conduisent l’âme à travers le mal ainsi que les bonnes actions, et s’y assurent une expérience douloureuse et agréable, ils sont parfois appelés, comme la première classe de Tattuvam, qui sont les instruments de ces plans d’action et d’expérience, Tattuvam impur et Instruments de plaisir. Ils sont désignés Vittiya, à partir de vittei, signifiant connaissance, examen, etc., parce qu’ils sont essentiels à la pensée appropriée, ou conscience, de l’âme, dans son état disciplinaire.

    III. Siva-Tattuvam (சிவா தத்துவம்), le Tattuvam Divin [ou les développements de la Déité].

    Ceux-ci, au nombre de cinq, sont autrement nommés Pirera-Kandam (பிரேர காண்டம்), les instruments opérationnels [ou efficaces] et Sutta-Tattuvam (சுத்த த்துவம்), le Tattuvam pur.  Il s’agit de

    1. Sutta-Vittei (சுத்த வித்தை);
    2. Ichchuram (ஈச்சுரன்);
    3. Sathakkiyam (சாதாக்கியம்);
    4. Satti (சத்தி); et
    5. Sivam (சிவம்).

    Ceux-ci complètent les trente-six Tattuvam primaires.


    NOTE – L’ordre dans lequel ces pouvoirs divins sont développés, est l’inverse de celui dans lequel ils sont ici donnés.  Sivam est l’énergie masculine de la divinité développée dans un organisme matériel.  Satti est l’Énergie Féminine de la Déité ainsi développée et organisée.  Sathakkiyam est la forme la plus élevée, ou organisme, dans laquelle les deux énergies sont développées.  Ichchuram est l’organisme à travers lequel l’agence obscurcissante de la Déité est exercée.  Sutta-Vittei est le pouvoir de destruction et de reproduction; et lorsqu’il est développé, apparaît sous les formes de Ruttiran ou Sivan, Vishnu et Brahma. Les relations et les fonctions de ceux-ci seront expliquées plus en détail ci-dessous.


  • Nota introductoria – Tattuva-Kattalei

    El siguiente artículo es una traducción cercana, con notas explicativas, de un tratado titulado Tattuva-Kattalei, la ley del Tattuvam, o de las cosas según su naturaleza esencial. El tema del que este tratado da un resumen desnudo, está completamente expuesto en una obra tamil original, compuesta por cuatrocientas dieciséis páginas de locura escritas estrechamente. Esta gran obra es polémica, manteniendo puntos de vista saiva en este departamento del hinduismo. Se llama Tattuva-Pirakasam (தத்துவா-பிரகாசம்), la elucidación de Tattuvam. Estas dos obras, que presentan la misma fase de doctrina, se basan en el principio de que el hombre es un universo en miniatura completo. Presentan el origen y la naturaleza del hombre y, también, de todo lo que constituye el universo.

    El breve tratado que aquí se presenta no sigue el orden en que los temas están dispuestos y tratados en el trabajo más amplio mencionado. Probablemente fue diseñado como un manual o guía para el Gurú, en lugar de un libro de texto para el discípulo. Es demasiado breve, en sí mismo, para dar una visión inteligible del sistema a los no iniciados. Sin embargo, como una ayuda para aquellos que estarían investigando los misterios del hinduismo, es importante, si no indispensable. Está vinculado a todo el sistema de su filosofía mística, al igual que la gramática griega lo hace para todo el curso de los clásicos griegos, seca para el principiante, pero que continuamente despierta interés a medida que uno progresa en el vasto campo que le espera.

    Es de esperar que las notas que están dispersas por todo el tratado hagan que todo sea más inteligible y legible, y ayuden a aclarar el sistema. Están diseñados tan brevemente como la naturaleza del tema parecía permitirlo. Todas las explicaciones se basan en la autoridad de los comentarios indígenas, que todavía se encuentran solo en tamil.

    El Tattuva-Pirakasam es el único trabajo completo y completo sobre el Tattuvam del que soy consciente. Otros tratados breves sobre el Tattuvam se encuentran en tamil y sánscrito. Pertenecientes a diferentes escuelas de filósofos, varían entre sí en términos del número de Tattuvam, y en otros aspectos. El Tattuva-Kattalei da el mayor número de  Tattuvam nombrados y es más sistemático y completo que cualquiera de los tratados más pequeños que he visto. Presenta el sistema estándar de saivas ortodoxas del sur de la India y Ceilán. Según este tratado, hay treinta y seis primarias tattuvam y sesenta subordinados tattuvam. Los  Tattuvam primarios se dividen en tres clases generales, desarrolladas sucesivamente. A partir de la primera clase nombrada en el orden de esta obra (que es la última de las tres en el orden de desarrollo), se desarrollan los sesenta   subordinados Tattuvam.

    Nuestro autor primero apenas nombra las tres clases de Tattuvam primario, luego da una especificación general de los sesenta subordinados.

    Luego viene una declaración del orden del desarrollo, comenzando con las existencias más elevadas, o más distantes y sutiles, y pasando por la serie hasta el más grueso de los elementos, la tierra. Este desarrollo del ser universal se da tal como se manifiesta en el universo en miniatura, el hombre.

    Después de eso, los Tattuvam primarios se toman en orden, y se explican muy brevemente en cuanto a sus relaciones entre sí, sus funciones en el microcosmos humano, etc.

    Luego sigue una visión de los estados del alma en sus diferentes relaciones fisiológicas, explicando los fenómenos de la vida, la conciencia, la actividad y la muerte.

    Luego se presentan los principales estados y circunstancias del alma, en su organismo, con respecto a su carácter moral y religioso, su condición actual y sus perspectivas últimas.

    Este orden se mantiene en la traducción y las secciones se marcan en consecuencia.

    El término tattuvam es de origen sánscrito, y cuando se transfiere del sánscrito, se escribe tattwa. Como este artículo es una traducción del tamil, parecía bueno preservar la ortografía tamil en este sentido y en otros términos técnicos.

    El significado de tattuvam es la naturaleza esencial, o propiedad, de cualquier cosa, y por lo tanto, en el lenguaje común, el poder. En este sistema, se utiliza para designar cualquier parte esencial del organismo humano; como, elemento, significado, órgano, propiedad, facultad, ya sea visible o invisible, activo o inerte. Se ha traducido de diversas maneras en inglés por categoría, principio, poder, órgano, propiedad. Pero ninguno de estos términos expresa correcta y completamente el significado del original. No tiene equivalente en nuestro idioma; tampoco puede tener en ningún idioma donde la fuerza de los términos esté limitada por la verdadera filosofía.

    Las ideas envueltas en el tattuvam confunden lo físico y lo metafísico, lo real y lo imaginario. Por lo tanto, será necesario, en la mayoría de los casos, mantener el término original.

    Estas observaciones se aplicarán, mutatis mutandis, a otros términos de este documento; y deben proporcionar una disculpa por su aparición no traducida.


  • Note introductive – Tattuva-Kattalei

    L’article suivant est une traduction proche, avec des notes explicatives, d’un traité intitulé Tattuva-Kattalei, la loi des Tattuvam, ou de choses selon leur nature essentielle. Le sujet dont ce traité donne un résumé nu, est entièrement exposé dans une œuvre tamoule originale, composée de quatre cent seize pages de folie étroitement écrites. Ce grand travail est polémique, maintenant les vues Saiva dans ce département de l’hindouisme. Il est appelé Tattuva-Pirakasam (தத்துவா-பிரகாசம்), l’élucidation du Tattuvam. Ces deux œuvres, qui présentent la même phase de doctrine, sont construites sur le principe que l’homme est un univers miniature complet. Ils présentent l’origine et la nature de l’homme, et, aussi, de tout ce qui constitue l’univers.

    Le bref traité présenté ici ne suit pas l’ordre dans lequel les sujets sont arrangés et traités dans l’ouvrage plus large mentionné. Il a probablement été conçu comme un manuel ou un guide pour le Guru, plutôt que comme un livre de texte pour le disciple. Il est trop bref, en soi, pour donner une vision intelligible du système aux non-initiés. Pourtant, en tant qu’aide à ceux qui se pencheraient sur les mystères de l’hindouisme, il est important, sinon indispensable. Il est lié à l’ensemble du système de leur philosophie mystique, un peu comme la grammaire grecque le fait pour l’ensemble du cours des classiques grecs – sec pour le débutant, mais qui suscite continuellement de l’intérêt au fur et à mesure que l’on avance dans le vaste domaine qui l’attend.

    Les notes qui sont dispersées tout au long du traité rendront, espérons-le, l’ensemble plus intelligible et lisible, et contribueront à rendre le système plus clair. Ils sont conçus de manière aussi brève que la nature du sujet semblait le permettre. Toutes les explications sont basées sur l’autorité des commentaires autochtones, que l’on ne trouve encore qu’en tamoul.

    Le Tattuva-Pirakasam est le seul ouvrage complet et complet sur le Tattuvam dont j’ai connaissance. D’autres brefs traités sur les Tattuvam se trouvent en tamoul et en sanskrit. Appartenant à différentes écoles de philosophes, ils varient les uns des autres quant au nombre de Tattuvam, et à d’autres égards. Le Tattuva-Kattalei donne le plus grand nombre de Tattuvam nommés et est plus systématique et complet que tout autre des plus petits traités que j’ai vus. Il présente le système standard des Saivas orthodoxes du sud de l’Inde et de Ceylan. Selon ce traité, il y a trente-six Tattuvam Primaires et soixante Tattuvam subordonnés. Les Tattuvam primaires sont divisés en trois classes générales, successivement développées. De la première classe nommée dans l’ordre de cette œuvre (qui est la dernière des trois dans l’ordre de développement), sont développés les soixante Tattuvam subordonnés.

    Notre auteur nomme d’abord à peine les trois classes de Tattuvam primaire, puis donne une spécification générale des soixante subordonnés.

    Vient ensuite une déclaration de l’ordre de développement, en commençant par les existences les plus élevées, ou les plus lointaines et subtiles, et en parcourant la série jusqu’au plus grossier des éléments, la terre. Ce développement de l’être universel est donné tel qu’il se manifeste dans l’univers miniature, l’homme.

    Après cela, les Tattuvam primaires sont pris dans l’ordre, et très brièvement expliqués quant à leurs relations les uns avec les autres, leurs fonctions dans le microcosme humain, etc.

    Suit ensuite une vision des états de l’âme dans ses différentes relations physiologiques, expliquant les phénomènes de la vie, de la conscience, de l’activité et de la mort.

    Ensuite, sont présentés les principaux états et circonstances de l’âme, dans son organisme, en ce qui concerne son caractère moral et religieux, sa condition actuelle et ses perspectives ultimes.

    Cet ordre est conservé dans la traduction et les sections sont marquées en conséquence.

    Le terme tattuvam est d’origine sanskrite, et lorsqu’il est transféré du sanskrit, il est orthographié tattwa. Comme cet article est une traduction du tamoul, il a semblé bien de préserver l’orthographe tamoule en ce sens et en d’autres termes techniques.

    La signification de tattuvam est la nature essentielle, ou la propriété, de quoi que ce soit, et donc, dans le langage commun, le pouvoir. Dans ce système, il est utilisé pour désigner toute partie essentielle de l’organisme humain; comme, élément, sens, organe, propriété, faculté, qu’elle soit visible ou invisible, active ou inerte. Il a été diversement rendu en anglais par catégorie, principe, pouvoir, organe, propriété. Mais aucun de ces termes n’exprime correctement et pleinement le sens de l’original. Il n’a pas d’équivalent dans notre langue; il ne peut pas non plus avoir dans n’importe quel langage où la force des termes est limitée par la vraie philosophie.

    Les idées enveloppées dans le tattuvam confondent le physique et le métaphysique, le réel et l’imaginaire. Par conséquent, il sera nécessaire, dans la plupart des cas, de conserver le terme original.

    Ces remarques s’appliqueront, mutatis mutandis, à d’autres termes figurant dans le présent document; et doivent fournir des excuses pour leur apparence non traduites.


  • Prefacio – Tattuva-Kattalei

    Se me ha pedido que indique las circunstancias en las que se sacaron a la luz estos tratados; y las razones por las que nunca antes se habían presentado al mundo. No parece necesaria una historia completa del tema; y probablemente no sería interesante para la mayoría de los lectores. Las dificultades del caso no pueden ser plenamente apreciadas por nadie que no tenga algún conocimiento de cómo los misterios de la filosofía hindú se han conservado, durante siglos, como propiedad exclusiva de una clase privilegiada, que afirma ser enseñada divinamente. Estas dificultades se derivan de la naturaleza de los temas tratados; las peculiaridades de la poesía tamil, la vestimenta con la que se presentan; la amplia variedad de términos técnicos utilizados, que no se encuentran en ningún diccionario o que, si se registran, no se explican en el sentido en que se utilizan aquí; y el hecho de que ningún gurú hindú o sastri, capaz de dar instrucciones para transmitir sus enseñanzas a ningún extranjero, o a ningún nativo relacionado con extranjeros.

    Es la ley del hinduismo, que estas preguntas elevadas y sagradas deben ser comunicadas sólo a los discípulos regulares, que han sido debidamente iniciados por el Gurú, y conducidos a través de ciertas etapas previas de la vida religiosa, en su orden sistemático.

    Como resultado, ninguno de los estudiantes indígenas de la Misión, o asistentes, pudo obtener un conocimiento adecuado de este departamento superior de aprendizaje sagrado; y muy pocos de ellos han intentado leer alguna vez una de estas profundas obras poéticas. El dialecto poético está bastante por encima de la aprensión del erudito tamil común; y estos tratados filosóficos presentan los especímenes más difíciles de composición en tamil superior.

    No fue sino hasta varios años después del establecimiento de las misiones estadounidenses en la India que los misioneros llegaron al conocimiento y posesión de estos libros, que siempre se consideraron demasiado sagrados para que un hombre común los tocara. Y eso fue unos años después de que los tuviéramos en la mano, antes de que supiéramos lo que había en ellos.

    Las circunstancias en las que me situaron, en relación con el seminario de Batticotta , a menudo me hicieron sentir la falta de un conocimiento más preciso y extenso del hinduismo filosófico, a menudo aparecía la convicción, de que había cosas conocidas y discutidas sobre mí, que no entendía. Se plantearon objeciones contra los argumentos utilizados contra la idolatría, y a las instrucciones dadas a los estudiantes, en un intento de desilusionar sus mentes con su sistema tradicional de metafísica y teología, que parecía golpear mucho más lejos en su sistema de lo que cualquiera de nosotros había ido hasta ahora. Esto llevó a varios intentos infructuosos de leer estas obras, con la mejor ayuda que se pudo obtener. Gracias a la ayuda de algunos buenos eruditos tamiles entre los maestros del Seminario, se ha avanzado, año tras año, en el desciframiento del texto de estas obras y de sus compañeros. Pero todavía estaba dolorosamente impresionado por la sensación de que no entendía el tema que estaban tratando. Había manchas oscuras que no podíamos distinguir; y estos eran de tal naturaleza, y aparentemente eran tan esenciales para la comprensión adecuada del todo, que repetidamente dejé de lado la pregunta, casi desesperado. Todo parecía un gran templo de misterios, con muchos apartamentos secretos cuidadosamente cerrados. Eventualmente, la providencia de Dios arrojó una llave en mis manos a través de la cual comencé a desbloquear estos oscuros receptáculos del pensamiento humano. Esta clave consistió en el descubrimiento de la importación del místico número cinco, incluido el pagnchakkaram, y una conjunción de circunstancias que favorecieron la investigación, con la ayuda de eruditos indígenas.

    Al hacer la primera traducción aproximada de estos tratados, me ayudaron mucho tres de los maestros nativos del seminario Batticotta . Pero para completar las traducciones y preparar las notas, me basé únicamente en mi propio examen repetido de los diferentes textos, y en una comparación bastante extensa de sus textos con otras obras estándar, un trabajo en el que se empleó una gran cantidad de una hora de estudio duro.

    Aunque, por lo tanto, siento un buen grado de confianza en el hecho de que las traducciones y notas dan, en general, una verdadera representación del significado de los diferentes autores, sería extraño que cada oración traducida diera el significado exacto del original, y que cada término, oración y doctrina explicada, se juzgara como correcto, con su matiz exacto de significado,  y en sus relaciones precisas.

    Es probable que este volumen caiga principalmente en manos de misioneros en la India y eruditos hindúes indígenas. Respetuosamente pediría a todos aquellos que puedan juzgar los originales, o que puedan tener suficiente conocimiento del hinduismo filosófico para formarse una opinión sobre el asunto, que me comuniquen a mí, o al profesor E. E. SALISBURY, Secretario de la Sociedad Oriental Americana, cualquier error significativo que puedan detectar. Cualquier sugerencia será afortunadamente recibida y debidamente tenida en cuenta.

    La convicción de que un conocimiento más perfecto de estos misterios que han ocupado durante tanto tiempo las mentes de los eruditos hindúes, y que forman la base de todo el sistema de superstición y mitología popular en la India, era urgentemente necesario para los misioneros, y por muchos otros interesados en el caso de las misiones y el aprendizaje oriental,  me estimuló y me llevó en la ejecución de mi tarea. Esta convicción ha sido profundizada y fortalecida por años de estrechas relaciones con los hindúes, y por muchas cosas que he observado desde que regresé a este país. Si mi visión de la pregunta es correcta y las expectativas que me aventuro a satisfacer se cumplen, liberaré más que justificado haber dedicado tanto tiempo precioso a tal trabajo.

    H. R. HOISINGTON.

    Williamstown, Massachusetts, febrero de 1854.


  • Préface – Tattuva-Kattalei

    On m’a demandé d’indiquer les circonstances dans lesquelles ces traités ont été mis au jour; et les raisons pour lesquelles ils n’ont jamais été présentés au monde auparavant. Un historique complet de la question ne semble pas nécessaire; et ce serait probablement inintéressant pour la plupart des lecteurs. Les difficultés de l’affaire ne peuvent être pleinement appréciées par quiconque n’a pas une certaine connaissance de la manière dont les mystères de la philosophie hindoue ont été préservés, pendant des siècles, comme la propriété exclusive d’une classe privilégiée, qui prétend être divinement enseignée. Ces difficultés découlaient de la nature des sujets abordés dans les traités; les particularités de la poésie tamoule, l’habit dans lequel elles sont présentées; la grande variété de termes techniques employés, qui soit ne se trouvent dans aucun dictionnaire, soit qui, s’ils sont enregistrés, ne sont pas expliqués dans le sens où ils sont utilisés ici; et le fait qu’aucun Guru hindou ou Sastri, capable de donner l’instruction de transmettre ses enseignements à tout étranger, ou à tout indigène lié aux étrangers.

    C’est la loi de l’hindouisme, que ces questions élevées et sacrées ne doivent être communiquées qu’aux disciples réguliers, qui ont été dûment initiés par le Guru, et menés à travers certaines étapes précédentes de la vie religieuse, dans leur ordre systématique.

    Par conséquent, aucun des étudiants autochtones, ou assistants, de la Mission n’a été en mesure d’obtenir une connaissance adéquate de ce département supérieur d’apprentissage sacré; et très peu d’entre eux ont jamais tenté de lire l’une de ces œuvres poétiques profondes. Le dialecte poétique est tout à fait au-dessus de l’appréhension du savant tamoul commun; et ces traités philosophiques présentent les spécimens de composition les plus difficiles en haut tamoul.

    Ce n’est que plusieurs années après l’établissement des missions américaines en Inde que les missionnaires sont arrivés à la connaissance et à la possession de ces livres, qui ont toujours été considérés comme trop sacrés pour qu’un homme ordinaire puisse les toucher. Et c’était quelques années après les avoir en main, avant que nous sachions ce qu’il y avait dedans.

    Les circonstances dans lesquelles j’ai été placé, en relation avec le séminaire de Batticotta , m’ont souvent fait ressentir le manque d’une connaissance plus précise et étendue de l’hindouisme philosophique, Souvent la conviction est apparue, qu’il y avait des choses connues et discutées à mon sujet, que je ne comprenais pas. Des objections ont été soulevées contre les arguments utilisés contre l’idolâtrie, et aux instructions données aux étudiants, dans le but de désabuser leur esprit de leur système traditionnel de métaphysique et de théologie, qui semblait frapper beaucoup plus loin dans leur système que n’importe lequel d’entre nous n’était encore allé. Cela a conduit à plusieurs tentatives infructueuses de lire ces œuvres, avec la meilleure assistance qui pouvait ensuite être obtenue. Grâce à l’aide de quelques bons érudits tamouls parmi les enseignants du Séminaire, des progrès ont été réalisés, d’année en année, dans le déchiffrement du texte de ces œuvres et de leurs semblables. Mais j’étais toujours douloureusement impressionné par le sentiment que je ne comprenais pas le sujet qu’ils traitent. Il y avait des points sombres que nous ne pouvions pas distinguer; et ceux-ci étaient d’une telle nature, et étaient apparemment si essentiels à la bonne compréhension de l’ensemble, que j’ai mis de côté à plusieurs reprises la question, presque désespéré. L’ensemble semblait un grand temple des mystères, avec de nombreux appartements secrets soigneusement verrouillés. Finalement, la providence de Dieu m’a jeté entre les mains une clé par laquelle j’ai commencé à déverrouiller ces sombres réceptacles de la pensée humaine. Cette clé consistait en la découverte de l’importation du nombre mystique cinq, y compris le pagnchakkaram, et d’une conjonction des circonstances favorisant l’enquête, avec l’aide d’érudits autochtones.

    En faisant la première traduction approximative de ces traités, j’ai été beaucoup aidé par trois des enseignants natifs du séminaire de Batticotta . Mais pour compléter les traductions et préparer les notes, je me suis appuyé uniquement sur mon propre examen répété des différents textes, et sur une comparaison assez étendue de vos textes avec d’autres ouvrages standard – un travail dans lequel beaucoup d’une heure d’étude dure a été employée.

    Bien que je ressente donc un bon degré de confiance dans le fait que les traductions et les notes donnent, dans l’ensemble, une représentation véridique de la signification des différents auteurs, il serait étrange que chaque phrase traduite donne le sens exact de l’original, et que chaque terme, phrase et doctrine expliqués, soit jugé juste,  avec sa nuance exacte de sens, et dans ses relations précises.

    Il est probable que ce volume tombera principalement entre les mains de missionnaires en Inde et d’érudits hindous indigènes. Je demanderais respectueusement à tous ceux qui peuvent être en mesure de juger des originaux, ou qui peuvent avoir une connaissance suffisante de l’hindouisme philosophique pour se faire une opinion dans l’affaire, de me communiquer, ou au professeur E. E. SALISBURY, Corr. Secrétaire de l’American Oriental Society, toute erreur importante qu’ils pourraient détecter. Toute suggestion sera heureusement reçue et sera dûment prise en compte.

    La conviction qu’une connaissance plus parfaite de ces mystères qui ont si longtemps occupé l’esprit des érudits hindous, et qui constituent la base de tout le système de superstition et de mythologie populaires en Inde, était nécessaire de toute urgence pour les missionnaires, et par beaucoup d’autres intéressés par le cas des missions et de l’apprentissage oriental, m’a stimulé et porté dans l’exécution de ma tâche. Cette conviction a été approfondie et renforcée par des années de relations étroites avec les hindous, et par beaucoup de choses que j’ai observées depuis mon retour dans ce pays. Si ma vision de la question est correcte et que les attentes auxquelles je m’aventure à me livrer se réalisent, je libérerai plus que justifié d’avoir consacré tant de temps précieux à une telle œuvre.

    H. R. HOISINGTON.

    Williamstown, Mass., février 1854.


  • Portada – Tattuva-Kattalei

    Portada – Tattuva-Kattalei

    TATTUVA KATTALEI.

    LEY DE TATTUVAM.

    Uno

    SINOPSIS

    ALGUNO

    FILOSOFÍA MÍSTICA DE LOS HINDÚES

    TRADUCIDO DEL TAMIL

    CON INTRODUCCIÓN Y NOTAS.

    Por

    Reverendo HENRY HOISINGTON.

    MISIONERO DE LA JUNTA AMERICANA EN CEILÁN.

    EXTRACTO DEL JOURNAL OF THE AMERICAN ORIENTAL SOCIETY, VOL. IV. Nuestro. L II.

    NUEVO HAVEN

    IMPRESO POR B. L. HAMLEN.

    Impresora en Yale College

    1854.


  • Couverture – Tattuva-Kattalei

    Couverture – Tattuva-Kattalei

    TATTUVA KATTALEI.

    LOI DU TATTUVAM.

    Un

    SYNOPSIS

    DE LA

    PHILOSOPHIE MYSTIQUE DES HINDOUS

    TRADUIT DU TAMOUL

    AVEC INTRODUCTION ET NOTES.

    Par

    Révérend HENRY HOISINGTON.

    MISSIONNAIRE DE L’AMERICAN BOARD À CEYLAN.

    EXTRAIT DU JOURNAL OF THE AMERICAN ORIENTAL SOCIETY, VOL. IV. NOS. L II.

    NEW HAVEN

    IMPRIMÉ PAR B. L. HAMLEN.

    Imprimante à Yale College

    1854.