La secuencia de festones en la casa durante las ocasiones festivas es parte del programa de decoración. La entrada a la casa está suspendida con festones y se cuelgan alrededor de la plaza de la puja. La moda moderna es comprar gaiteros hechos de tela colorida, cortarlos en bonitas figuras y ponérselos. Pero hasta el final del primer cuarto de este siglo, los festones de papel no tenían parte en las festividades. La gente hacía decoraciones muy artísticas. pero sin costo alguno. Los brotes tiernos de hojas de coco y los brotes de hojas de palmira se utilizaron para preparar festones. No había necesidad de invertir dinero en estas áreas. Todos estaban en el jardín de cualquier aldeano. La gente cortaba una o dos hojas, sacaba cada pieza por separado, la cortaba a la longitud requerida con un cuchillo afilado y las tejía en las formas requeridas de una manera muy artística. Los brotes tiernos eran todos de color blanco y alternando con las hojas de mango verde oscuro, tenían un contraste de color agradable a la vista. Los festones de coco se secaron y marchitaron en unos dos días, pero los brotes de palmira nunca se marchitaron. Se mantuvieron frescos por un tiempo. Entonces, después de una ocasión, fueron cuidadosamente sacados y almacenados, para ser utilizados para la próxima ocasión.
Además, muchos nenúfares estaban disponibles en piscinas y estanques locales para la decoración. Los lirios generalmente estaban disponibles en blanco, rosa y escarlata, y a veces en nilotpala azul; tomados con el tallo largo, también se colgaban como festones y coronas.
Por lo tanto, cualquier decoración se hizo sin gastar ningún p(a)isa. Además, el tejido ha dado lugar a la expresión de los talentos artísticos de las personas, especialmente los niños.
Se dan entre sí trabajando diseños elaborados como loros y otras aves de corral, carbones, sonajeros, etc. en festones de coco y hojas de palma.
L’enchaînement des festons dans la maison lors d’occasions festives fait partie du programme de décoration. L’entrée de la maison est suspendue avec des festons et ils sont accrochés autour de la place de la puja. La mode moderne consiste à acheter des joueurs de cornemuse en tissu colorés, à les couper en jolies figures et à les enfiler. Mais jusqu’à la fin du premier quart de ce siècle, les festons de papier n’avaient aucune part aux festivités. Les gens ont fait des décorations très artistiques. Mais sans frais. Les tendres pousses de feuilles de cocotier et les pousses de feuilles de palmyre ont été utilisées pour préparer des festons. Il n’était pas nécessaire d’investir de l’argent dans ces domaines. Ils étaient tous dans le jardin de n’importe quel villageois. Les gens coupaient une ou deux feuilles, sortaient chaque morceau séparément, le coupaient à la longueur requise avec un couteau tranchant et les tressaient dans les formes requises d’une manière très artistique. Les pousses tendres étaient toutes de couleur blanche et alternant avec les feuilles de manguier vert foncé, elles présentaient un contraste de couleur agréable à l’œil. Les festons de noix de coco ont séché et flétri en environ deux jours, mais les pousses de palmyre n’ont jamais flétri. Ils sont restés frais pendant un certain temps. Ainsi, après une occasion, ils ont été sortis soigneusement et stockés, pour être utilisés pour la prochaine occasion.
En outre, de nombreux nénuphars étaient disponibles dans les piscines et les étangs locaux pour la décoration. Les lis étaient généralement disponibles en blanc, rose et écarlate, et parfois en nilotpala bleu; pris avec la longue tige, ils étaient également suspendus comme festons et comme couronnes.
Ainsi, toute décoration a été faite sans dépenser aucun p(a)isa. En outre, le tressage a donné lieu à l’expression des talents artistiques du peuple, en particulier des enfants.
Ils se donnent les uns avec les autres en travaillant des dessins élaborés comme le perroquet et d’autres volailles, le char, le hochet, etc. sur les festons de feuilles de cocotier et de palmier.
Los festivales implican mucho trabajo, a veces se extiende con varios días de anticipación, como en el caso de Dipavali y Sarasvati Puja, y mucho gasto en dinero y recursos alimenticios. La mayor parte del trabajo es realizado por mujeres. Sin embargo, no parecen culparlo. Siempre participan en estas actividades con gran entusiasmo. Incluso los menos bien ubicados no parecen preocuparse por los gastos adicionales involucrados.
Estas actividades festivas sacan a relucir los talentos creativos de mujeres y niños, y por lo tanto son naturalmente fuentes y ocasiones de alegría. La alegría es aún mayor para las mujeres, porque la actividad es principalmente para el bien de los niños y, naturalmente, da satisfacción a las madres en el trabajo.
Los niños, sin duda, disfrutan de la comida festiva, pero también disfrutan de actividades creativas. Es este placer el que se refleja en las mujeres, y para ellas estas ocasiones son, por lo tanto, una fuente de doble placer.
Los festivales son siempre una gran fuente de alegría para los niños de la casa. Les dan suficiente actividad y les dan más para comer también. Todos los festones con hojas de mango están hechos por ellos. Su competencia con otros niños en este trabajo les da un amplio espacio para que su actividad creativa se exprese. Pasan largas horas allí y también aprenden copiando el trabajo manual de niños más inteligentes que ellos. La expectativa de cosas buenas y suficientes para comer agudiza su afán por hacer una buena decoración. Aparte de decorar, hacen otros trabajos como fundir la imagen de Ganesa para Ganesa Chaturthi, arreglar libros y muñecas para Sarasvati puja, limpiar la casa de telarañas, etc. para cada festival, etc. Naturalmente, tienen muchas cosas buenas para comer: dulces el día de Año Nuevo, Chitra Annam o Adipperukku, variedades de Kolukkattai, frutas Jambu, manzanas boscosas, etc. en el día de Vinayaka Chaturthi, una serie de platos todos los días durante los diez días de Dasarah, una gran cantidad de dulces en el momento de Dipavali , frutas de caña de azúcar y plátano para Pongal y así sucesivamente. Los vestidos chillones y las visitas a las casas de los vecinos con motivo de Dasarah y Dipavali agregan sabor extra a las niñas.
Les festivals impliquent beaucoup de travail, s’étendant parfois sur plusieurs jours à l’avance, comme dans le cas de Dipavali et SarasvatiPuja, et beaucoup de dépenses en argent et en ressources alimentaires. La majeure partie du travail est dévolue aux femmes. Pourtant, ils ne semblent pas lui en vouloir. Ils s’engagent toujours dans ces activités avec beaucoup d’enthousiasme. Même les personnes moins bien placées ne semblent pas s’inquiéter des dépenses supplémentaires que cela implique.
Ces activités festives font ressortir les talents créatifs des femmes et des enfants, et ce sont donc naturellement des sources et des occasions de joie. La joie est d’autant plus grande pour les femmes, car l’activité est surtout pour le bien des enfants et naturellement cela donne satisfaction aux mères dans le travail.
Les enfants apprécient sans aucun doute la nourriture festive, mais ils apprécient également les activités créatives. C’est ce plaisir qui se reflète chez les femmes, et pour elles ces occasions sont donc une source de double plaisir.
Les festivals sont toujours une grande source de joie pour les enfants de la maison. Ils leur donnent assez d’activité et leur donnent plus à manger aussi. Tous les festons avec des feuilles de mangue sont fabriqués par eux. Leur compétition avec d’autres enfants dans ce travail leur donne amplement de place pour que leur activité créative s’exprime. Ils y passent de longues heures et ils apprennent aussi en copiant le travail manuel d’enfants plus intelligents qu’eux. L’attente de bonnes et suffisantes choses à manger aiguise leur empressement à faire une bonne décoration. Outre la décoration, ils font d’autres travaux tels que le casting de l’image de Ganesa pour Ganesa Chaturthi, l’arrangement de livres et de poupées pour Sarasvati puja, le nettoyage de la maison de toiles d’araignées, etc. pour chaque festival, etc. Naturellement, ils ont beaucoup de bonnes choses à manger – des bonbons le jour du Nouvel An, Chitra Annam ou Adipperukku, des variétés de Kolukkattai, des fruits Jambu, des pommes de bois, etc. le jour de Vinayaka Chaturthi, un certain nombre de plats chaque jour pendant les dix jours de Dasarah, un grand nombre de bonbons au moment de Dipavali, des fruits de canne à sucre et de plantain pour Pongal et ainsi de suite. Les robes criardes et les visites aux maisons des voisins à l’occasion du Dasarah et du Dipavali ajoutent un piquant supplémentaire aux petites filles.
The Kaman Pandihai (festival of Cupid) is one which has great popularity among the lower levels of society. But it has not always been so, as we find Andal herself praying to him. Many of the Tamil epics narrate stories of heroines offering worship to Kaman (Manmata). This angel of love has given rise to a number of conventions in poetic tradition. The dart which he aims at the lovers are traditionally the five – the lotus, the mango flower, the asoka, the jasmine and the nelumbiam (lily). There darts are aimed at the different parts of the love- sick girl’s body and they give rise to different emotions. The lotus aimed at the heart, makes her pine after the lover who has gone away from her for the moment, on some work or state errand. The mango flower aimed at her breasts* causes a tell- tale golden colour to appear thereon for the same reason; The Asoka aimed at the eyes, creates an aversion to all food. The jasmine aimed at her head stretches her on the bed while the lily actually takes away her life; The concept of Kama can thus be seen to have given rise in turn to quite a volume of poetic concepts.
There is also another tradition regarding the blossoming of the flowering shrubs and trees. When they do not bear blooms in profusion during the flowering season, the tradition says that they give out flowers in abundance at a particular act from a virgin girl. The popular tradition is expressed in many poems, when a virgin girl kicks a mara tree (white Indian oak) with her foot, it will bear flowers soon. If her shadow falls on a champaka tree, it will soon bloom. The mahizh (mimusops) will bloom if she casts a loving look on it. If she hugs an asoka tree or if it could hear her footfalls, it will bloom. The kura (wedera) tree blooms at her smile and laughter. When she befriends the palai tree it bears flowers. On the other hand, the padali tree will flower when she scolds it. When she takes food in the shade of a mango tree, the tree begins to flower. The madhavi (hiptage) plant will give out its fragrant flowers when she sings some tunes in it shade. The punnai tree (calophyllam) blooms when she dances before it. This fine poetic convention clearly illustrates how nature and people’s lives had been closely interwoven with mortal people’s lives, particularly with love.
All these are not mere whims of men of letters. They indicate how the people of those days were living a life in tune with nature and how they had a personal relationship with all of God’s creation including the plant world. All these poetic concepts are closely linked with vasantha, the festival of spring. The jasmine has always evoked fine feelings of tenderness and affection in the poets. Its pure white colour, fine arrangement of petals, its opening exactly at a specified hour of the evening and its lingering sweet fragrance have endeared it to poets. The Sangham poetry tells us that Pari, the great warrior patron of the period, returning from a hunt saw a large jasmine creeper mullai covering a small bush with its shoots. It was in full bloom., its snow-white flowers in sharp contrast with its own dark green foliage in the gathering evening dusk. As Pari looked at the mullai he saw it send out scores of shoots with buds, flowers, and foliage; it had covered the entire bush, and the shoots had no more support., but were stretching out into the void with nothing to hold on. His heart was touched by the condition of the plant. It was his duty as ruler of the land to lend support to those who needed it. His artistic mind at once took in the helpless state of the plant. With no hesitation he drove his chariot close to the bush, trained the shoots on the chariot and walked home. No greater tribute can be paid to the flower culture of the Tamils than this most poignant story.
In love poetry mullai is the symbol of purity and chastity and we have a fine story of a festival for the blooming of the mullai It is a poetic convention to say that a young girl expecting a marriage alliance, raises a mullai plant close to her house, with care and love. The belief is that when the plant blooms, she also would get her marriage solemnized. The mullai plant grew and very soon flower buds appeared on it and one fine evening it burst into bloom. Naturally the girl was very happy, and she celebrated the occasion by organizing a festival to celebrate the event. The Tamil Naidatam says that the uproar in the great city of Nala, when girls celebrated the mullai bloom festival in this manner and the great orchestra music celebrating the marriage of young men and women, even excelled the roar of the waves of the sea.
This concept of considering the plant in a human relationship is further extended in a verse in Natrinai (172). A lover going over to meet his lady love tries to flirt with her in the shade of a punnai tree. In her early years her mother had told her that the tree had been lovingly reared with milk and water and it stood in the relationship of a younger sister to the girl. She now remembers this and so tells her lover out of her own sense of modesty that they should not indulge in love pranks in the presence of the tree.
Festivals are occasions of joy. One does not celebrate sorrow. A festival is a celebration and has come to mean joy, joy all round. So, occasions of festivals unite all people and have been a means of uniting people and of integrating communities from the earliest times. Man does not live in isolation but lives as a member of a society to whose joys and pleasures he contributes and from which he also receives sustenance. So, festivals have a great value for him.
We associate the Sanskrit word for festival utsava with a temple festival. But the Tamil. Word vizha has come to mean any festival, not only temple festival, and religious festival, but any social festival and even a national or literary festival. Vizha derives from the root vizhai which means to desire, and so vizha would mean the fulfilment of desire, and a celebration. When people joined together there was joy and celebration, and these came naturally to be festivals. People came together on some important occasion in the very early times and the memory of that occasion probably came to be remembered and celebrated with great rejoicing annually in later years. Thus came the celebration of festivals. The festivals are of course associated with some kind of origin or cause of celebration, but this need not be pushed further back. We may rest content with saying that out of joy and mutual goodwill were born many of our great festivities.
Festivals had been compared by some to the carnivals of the West. Carnivals are mere fun and sensory enjoyment, materialistic to the core. We should remember that the case in India is different. Our recorded history, culture and civilization go back to more than 2500 years, two and a half millennia, and they hand down to us the culture which is at least five millennia old. There has been a continuity, one generation passing on its great legacy of culture down to the next. We certainly did have foreign cultures & languages, civilizations, and domination. But we did not succumb. There was an in-suppressible vitality in our culture and our sense of values which continued to live and thrive under any type of adverse conditions and this feature has handed down to us an unbroken cultural heritage.
Although festivals are spontaneous expressions of joy and thanksgiving to nature if we may say so, they certainly have a core of bhakti in their celebration. They are a frequent reminder of God and surrender to a higher Power. They have also helped in a great measure to cultivate the mind of man and to evolve a uniform culture and have handed it down to generations of posterity.
The spirit of all festivals is joy, a fellow feeling and a surrender to the higher power also an outcome of the society’s feeling of thanksgiving. Their aim is to remind man of God and induce him to contemplate on God as stipulated in the scriptures. Man is expected to suspend all his normal activities on the day of a festival and learn to concentrate upon something above Him to forget himself and if possible, experience the joy of living as a responsible member of society and to learn the joy of giving to the working class and to the less fortunate^ without expecting anything in return. The festivals are recorded in our Puranas and each of them commemorates a great event like the Kamadahana, the burning of Kama or lust, and so on. These are occasions of joy, although fasts are prescribed as a means of bodily purification. When a festival is celebrated in honour of some deity, it is conceived of as an act of thanksgiving for some good to society that was done by the deity. It is a remembrance of how God suppressed evil in order that Good may prevail and happiness may come to all. Man, by the observance of the fasts and feasts, purifies himself and rises higher.
There are several marginal benefits resulting from any festival. For one thing, in the name of decoration, the whole house becomes clean. Pongal of course insists on a complete overhaul of the house, white washing and painting where necessary, discarding all accumulated and unwanted rubbish. Cobwebs, waste piles, and rubbish dumps one year old are then removed.
This apart, the periodical decoration as for example for Navaratri brings in its train a greater cleaning of the house at least partially, a brightening up and fresh illumination. Ayudha puja necessitates the cleaning up of all tools and instruments giving them an enforced rest for a couple of days dusting the books and the like. The New Year’s Day causes a complete cleanup of the entire house. Apart from the cleaning on festive occasions, every Hindu home has its own traditional way of beautifying the entrance to the house, for welcoming Lakshmi every day. Early morning and in the evening, the yard at the entrance is swept clean water is sprinkled and a kolam, small or big, is drawn there by the lady of the house or by the girl children. This gives a trim appearance to the whole house and lends a fine atmosphere.
What is more valuable than a trim and chic environment to share one-’s life with? This can easily be seen in contrast with any neighboring house which has no sprinkling of water and no kolams. Such a house will present a dismal and neglected sight which will be just the reverse of joy and merriment. Add to this a small lighted kuttuvilakku in the evening at the entrance to every Hindu household and here we have the full measure of the joy, which is obtained from a festival, just by following tradition, even without celebrating any festival. Such are the lasting benefits given to us by the tradition of festivals.
The latter half of the twentieth century witnesses loud declarations of rationalism by many who call themselves thinkers and they claim that they do not like to celebrate ‘meaningless and superstitious festivals in their homes.’ They are only to be pitied. Celebrations are not a mere matter of superstition. They are a matter of infinite joy to the children and the women folk even if the grown-up men who claim to be radicals and atheists are unable to enter into the spirit of the festivals fully. The festivals build a bridge of understanding between the past and the present and also open up a path for the future. They are a social attempt to retain all the best in our past culture and customs and to hand them down to the future generations in an agreeable, enjoyable and elevating manner and they seem to perpetuate the best in them. Then they area bond in society which is calculated to develop good neighborliness and harmony and partially remove the disparities arising out of class and wealth. Through the songs sung at the time of festivals, they also help to introduce language to the children and offer great scope for the development of all art and of creativity and the training of the eyes and ears and the skill of the hands and the fingers in handiwork. There is no ether single element today which can be substituted for this that the festivals accomplish. We can only pity such scoffers and feel sorry for their children who are denied the innocent pleasures and free gains of life through no fault of their own.
Science and Siddhanta, discourse by Tiru Tuticorin Shanmugavel Ayya
Indian history was first written by Germans
Since S will not be first alphabet in German words, hence sindhustan became Hindustan.
Hindu – all faiths that had originated from Hindustan are called Hindu
Siddhanta does neither negate nor is contrary to science, but it runs parallel and also transcends the barriers of science.
Science can deal with phenomenon or matter.
that which is apprehended by the senses
Possesses characteristics susceptible to precise measurements like force, mass, radiation & energy
Those which does not fall into the above two categories, scientists cannot enter. They accept it as their limitations.
Saiva Siddhantam is not a blind belief.
Scholarly definition and layman’s definition are different.
One should know the scholarly definitions to be able to enter Saiva Siddhantam
Logical question: Are there any matter/phenomenon which cannot & do not fall within the definition of science?
Science does not refute but says that it’s not our domain
When same question is asked to saints, Saiva Siddhantam replies that yes there are six categories that science cannot approach (tiruvarutpayan 52)
Not only God, but there are also six entities which cannot/do not fall within purview of science
Aegan
Anegan
Irul
Kanmam
Maya 2 types
Suddha
Asuddha
The subtlety with Saiva Siddhanta is that one cannot directly understand its definitions though it is in tamizh.
What does Saiva Siddhantam mean when it says God? Or who is God ?
Aegan – God
Anegan – aggregate of souls
Irul (Sakaja mala Sanskrit) – sivagnanabotham sutra 4: not darkness but night
Rajinikanth – Rajini (night) kanth (lover)
Simran – one who meditates
Meaning of ananvam: a connate that atomises the ubiquitous nature of the souls. It is not ego because ego/egoism is only a character and does not mean a person or entity. Without a thing, a character will not arise. Anava is an entity.
Connate: the capillary membrane develops into cataract hence it already existed. The capillary membrane and eye are co-existing. Hence connate means co existing. Soul itself is ubiquitous meaning soul is not confined to the body.
If we say soul is existing within the body, then where does it exist? The burden of proof now is upon you.
Anavam is one which gives you the feeling that the soul is confined to the body
Kanmam – entity by which God endows body to the souls
& 6. Suddha maya / asuddha maya: locus for the sound potential and sound kinetic
When you clap hands, where did the sound come from? If it came from hand, then where in the hand did it come from? Hence sound did not come from hand but from akash. The reason for activating the sound is the hand but the sound potential/sound kinetic comes from akash
The earth spins on its own axis. Though scientists have not seen the axis, can the axis be removed from the definition of science ?
A point is a circle which has no circumference as per mathematics.
A straight line has certain length but no breadth.
No one can draw a point or a line without going against the above definitions, but can one remove those definitions from science? Science itself is in limbo on these aspects.
Do not keep the body for more than 24 hours. Do not embalm the body.
Satguru Sivayasubramuniya Swami, Kauai Aadheenam
Is there life? Is there God? Etc., those who say nothing exists is called Alagai. – tirukural
That which says no to everything, that which acts cannot be a non-entity. Hence its Aanma which says or acts.
Meikandar
The 6 entities are eternal – Tamizh Tiru Gnana Sambandar
They are not the by-product of something else (Anadi- no beginning)
No primordial matrix from which they emanated
Arul Thalaivan – Kadavul
A professor introduced to Mahavidwan Meenakshi Sundaram Pillai, a student who said he had learnt kamba ramayanam, silapadikkaram
MMSP: which is your favourite amongst the literature you have learnt ?
Student: kamba ramayanam
MMSP: your favourite padal in it? Read it and tell me, which is ezhuvai, paynilai, seyal padum porul in it.
Student did not know.
MMSP : get up (ezhuvai), no use(paynilai), we both have no purpose discussing anything (a pun on the three tamizh words)
Mahavidwan meenakshi sundaram pillai (a story): it was considered great to have studied under mahavidwan.
Ezhuvai: pasu
Whereas other religions have lots of difference with science, Saiva Siddantam does not. But Saiva Siddantam also mentions that science has its limitations.
Also, science does not deal with soul or God since its beyond their perimeter. But we cannot refute those because science cannot deal or explain it.
These 6 entities since they have an effect on the aanma, then we have to explain it. We can leave it if those 6 entities don’t have any effect.
All things cannot be answered by science
Science can maybe answer the how, but it can never answer the why.
The planets are going about in their orbits due to gravitation and repulsion. These answers the how. But the next question is why did gravitation come by? Science cannot answer that.
Saiva siddantam answers the “why” even though you are not convinced. Read it even though you are not convinced or disagree. My humble request is to read what our ancients and sages have expounded for our benefits. Don’t use society as a benchmark to throw away the ancient knowledge. Read it then later agree or disagree but read it.
Tiru Tuticorin Shanmugavel Ayya
You are not even able to correct your own wife, husband, children, or family so why are you venturing to change the society and others?
If you say that will come to Saivam only when society is reformed, then you are actually cheating yourself and you’ll never come.
The body is important. Mind is more important than the body. The aanma is more important than the mind and the body.
The aanma is eternal. This is the core message of Bhagavad Gita. It explains how Krishna explains to Arjuna that he is acting according to dharma and is not crossing the limits of worldly dharma.
All faiths that originated in India have this core concept that aanma is eternal, except buddhism and jainism.
Buddhism says that when the soul dies, that is gnana.
Whether God has created the Soul? The question of creation does not arise at all is the logical answer as far as Saiva Siddhanta is concerned.
If science has approached soul, then there should be a scientific law or at least a theory. Is there any law or theory in science about the soul?
The world classifies religion into Semitic and non-semitic. Or abrahamic or pagan.
The soul is eternal. when a man or animal dies, the soul takes another birth. Pythagoras was the first person to say this in the west. Metempsychosis: a word coined in Greek philosophy on the basis of Pythagoras statement.
The western philosophy, Bertrand Russell (philosopher and scientist)
The panchangam says correctly when a next eclipse will occur. It was written after consultation with NASA. (Jokingly)
People will not believe what Appar and Sambandhar says but will accept if a white man says. Especially in TN, where this disease has spread even among kids. What the nayanmars and other Saivaite saints have revealed is The Truth.
8000 jaina monks came to debate with Tiru Gnana Sambandhar. Queen Mangaikarasiyar holds a fear in her heart as what would happen if this child lost.
Then Sambandhar sings « maanin ner veli maadar aai ». The deer rolls its eyes to make sure it’s not hunted. He says the queen’s eyes is similar to that of a deer and that you need not have mercy upon me. You think I’m going to debate with these 8000 jainas. It’s actually Madurai Aalavai Chokkan(Siva) who is going to debate and not me. Also, I know the violence that these jaina monks have done. Also, I know that they have guerrilla soldiers in the 8 hills.
Tirumandiram 2: 520-525 verses talk about murugan tattvam. An exposition (saaram) of the kamika Agama. Gives the title Adho Muga Darisanam (6th downward facing face of Lord Siva)
Adi Sukuma Tirumeni: when Siva takes Sakthi herself as the tirumeni. Souls take their form from tattvams from maya.
Aanma Tirumeni or sukuma tirumeni: when Siva take Aanma itself as His body.
Thula tirumeni: takes the 5 lettered panchakshara as His body. When we do jabam, the sound which arises itself is taken as body by Siva. Thats why 5 lettered panchakshara is special since He is the presiding deity for that mantra.
Different types of Tirumeni
The aanmas living in Sadasiva Murthy tatuvam and aanmas in Mahesvara Murthy tatuvam are different.
The full force of Siva never descends because that necessity never arises.
The totality of all potentiality is Parasakthi.
Thayumanavar says that when you understand the 5 faces of Siva (Sadasiva Murthy) then only you’ll understand 6 faces of Muruga.
There is no name of Murugan in vedas/agamas. Only Subramaniya occurs in mahaskandam. Sambhava gandam 35 adhyayam 25th sloka explains the muruga tatuvam. It has not come in tamizh. Only Sankara Samhita part has been expounded into tamil.
Su: uba sargam – Anandam
Bramham: no equal
Niyam: two comes from one
Expounding the meaning of SuBrahmaNiyam
Pasam (Bonds): sat
Pasu(Souls): sat Cit
Pati (GodHead): sat Cit anandam (satchidanandam from Upanishads)
Characteristic of Bonds, Souls & Godhead
Bramham is a vedic word.
Pati is from agama
Tat is from mahavakyam
Saivam accepts both brahmam and tat. But the reverse is not true.ex., ISKON because terminology used in agamas.
Manickavasagar uses the word adi brahmam.
Om occurs as prefix and suffix only for SadaSivam (om asthu sadasivom) and Subramanya (om subramanyom)
Vedas contain yagnam. Puja occurs only in agama.
Puja is a counterpart of Vedas yagna. (Satguru Sivasubramunya Swami, Kauai Aadheenam)
Even St. Arunagirinathar himself uses the word Subramanyam in tirupugazh. So, for us the name is not important but the concept of Muruga / subramanya.
In all Saiva agama temples, only agama mantra should be said in the moolasthanam not vedic mantras. In vaishnavite temples, Veda mantras are recited in the moolasthanam.
Bhavadhi Nama archanai inside the moolasthanam for Siva.
Then after coming outside, 11 names of Siva from Sri Rudram in Yajur Veda are chanted.
After this mantra is chanted, Tirumurais are sung.
Even in Vada mozhi, only agama mantras should be chanted in Siva temples in north as well.
Purohits are those who use smritis as base.
Vadyayar (vadiyar) – veda kriyas. Those who do Rudra jabam outside the sanctum sanctorum are vadiyars not acaryas.
Acharya – Agama kriyas
Purohits & Vadiyars are not allowed inside Sanctum Sanctorum of Siva temples only Acharyas.
Odhuvar: only those who sing Tirumurais with pann.
Tevaram / Tirumurai talks about 6 Samayam. these signify 6 schools of Saivam not the 6 sects of Hinduism.
Aga Samayam are of 6 types.
Only after adi Sankara, the 6 sects came into definition into Hinduism.
When things get too diluted, confusion arises. When its rests at scholarly level, confusion does not arise. Tholkapiam does not have pada pedham though it’s very ancient because it’s meant to be discussed at the scholarly level. When things are bought to the level of common man, confusion occurs. Hence certain things are better to not become popular since the level of rigor, understanding and study required is very high.
Vazhipadu contains: Pujai + homam + Dyanam
‘Ha’ is an aspirate
‘Ch, k, etc.’ Are explodants
‘U etc’ continuants
‘M, n, ing’ are nascent
R, l are liquids
Only L & R join with other consonants. DRaw, PLea
certain english grammatical notes for references between sanskrit and tamizh
Since tamil does not have aspirate sound like in Sanskrit Homam becomes homam Hara become ara etc.
How to do dhyanam to Murugan?
Everyone can do dhyanam
But not everyone can do pujai/homam without qualification
Vel – Gnana sakthi
Valli – kriya sakthi
Devayanai – iccha sakthi
Murugan – pranavam
Seval – nadaM tatuvam
Mayil – vindu tatuvam
Snake in peacock’s mouth – assudha maya
Snake at peacock’s feet – prakriti maya
Vel should be resting on the shoulder and not in hand
Mantras
Each mantra has an operating deity. All mantras are vindu tatuvam.
A mantra has value/power only if it has above 4 parts
The sapta Kodi mahamatras deity are activated by the mantras
Agni has 3 legs, 2 faces, 7 hands.
One leg each in bhuloka, devaloka, narakaloka but he walks with one leg only
Fire, agni and agni devan are three different entities
In marriage, a three-legged stool called mukali is used.
A mantra does not produce results because of mere chanting. But due to the activation of the operating deity. And the deity will not obey without Siva Dikshai.
Agni devan is mere carrier.
We cannot activate nadam tatuvam. Only God can activate it and He uses it to manifest.
Vedas did not carry thiru gnana sambanda peruman but the other way around, that is the greatness of Sambandar.
Nadam will not manifest as body for atmas – Tirukalitrupadiyar 37
Vel and mayil only with support us hence seval is not considered for atmas. that’s why “velum mayilum Thunai” phrase is used in tamizh.
All mandirams are vindhu. Sound in vindu is kinetic
Sound in nadam is potential
Without tatuvams, the atmas cannot function at all.
To manifest Iccha sakthi – anda karanangal
To manifest kriya sakthi – karmendriyas
To manifest gnana sakthi – gnanendriyas
That’s why Tiruvalluvar says – without bowing down to God. (sei nandri kondra malarku)
Even to say there is no God, one needs mouth
Same for thought as well.
If we understand how the atmas functions, then we will not say God does not exist
If we understand how the body is used by the soul, then one will understand how God functions.
thammai unarar unarar
Meikandar
Aanmeegam – understanding of aanma is the first step in understanding God hence “aanmeega vadi gal”
Mayil and gnanam can be used as names but not Seval because nadam will not accompany us thats why.
Cit – ichha + kriya + gnana sakthi are by default in aanma. But that sakthi will manifest / function only with karuvi (tools)
Sat – really existing (pasam)
Pasu – sat + cit
Pati – Sat +cit + anandam
Aanma get anandam in mukthi when God gives it. Anandam is one which comes not as a result of vinai
“Andam ondrila anandam petren”
manickavasagar
Aum Namo Kumaraya – moola mandiram (those who get siva dikshai via kumara tantra way)
Om saravana bhava is not a mandiram. It’s a name not a mantra.
2 vaharams should not be present. Bhava is not a kodi.
Tirumurugatru padai – 2 tirucheer alaivai said by nakeerar.
1 face – para gnanam (reveals like the sun)
2 face – arat karunai (when compassion with punition, marat karunai)
3 face – yaga thalaivan (when doing yagam following siva agamas)
4 face – apara gnanam (reveals like the moon)
5 face – marat karunai (acts like He’s angry because He is compassionate on all)
6 face – bhogam (ulaga inbam) is given by God only
6 faces of Murugan
The first 3 (creation/ protection / dissolution) takes place in maya
Concealment and grace happen in aanma’s consciousness
Sivakosariyar – Arat karunai
Kannapar – Marat Karunai
Siva tells sivakosariyar about marat karunai and He also reveals Himself to sivakosariyar first. He also explains that kannapar has completed all his agama prayers in his previous birth. He has been born as hunter since he hit Kirata (Siva) with his bow in his previous birth hence he was born again as kannapar.
Even Villiputtur alwar sings that the hitting of the bow also fell on Perumal.
Tirumurai’s are ilakiyam. Sastras are technical terms. Concepts are same.
Kandar anubhuti 36 – nada kumara namah endru. Tiru variyar swamigal has written urai on this. Also, arunai vadivel mudaliyar
Namah sivaya – namam + mandiram
Sivaya nama – mandiram only
Murugan and Siva are one – Siva Himself tells devas that Murugan and I are the same.
If one prays to Murugan, both gnanam and veedu paerum varum. Says Siva.
Singamugan alone understands Murugan and hence tries to explain to Surapadman.
Seinandri kadan (Loyalty/fealty) hence singamugan supports surapadman though his path is wrong.
Same is said by kumbakarnan to ravanan in ramayanam.
Mahendra kandam – mantira alosanai happens where singamugan tells Murugan is Siva. Adomukham has come as Arumugam(6 face Murugan)
Mayil (Peacock) / Seval (Rooster) of Murugan
Before sublimation of surapadman, did Murugan have mayil / seval?
Sastras say that He always had them. Siva agamas did not come after surapadman as they are anadhi.
Candeswarar nayanar when he went to temple already there was a candeswarar.
Siva peruman gave pada mukthi to candeswarar nayanar and then after some time takes him to Himself.
During the war, the peacock on which murugan rode was Indra. The flag at that time was agni. This is mentioned in kandapuranam. Then Murugan orders to Indra / Agni that Surapadman will himself be mayil / flag. Song 499 in kandapuranam
Subramaniya vazhipadu was always there.
What Siva in Murugan manifestion tells us is that Siva Pujai must be done because devas failed to do so.
Hence in tiruchendur, Murugan has 4 hands, lotus, jaba malai, abhayagam, varadaja(varadakaram) and is in the act of doing siva pujai
Tiruchendur is not place of war with surapadman but the place where Murugan shows how Siva Pujai must be done. Skanda pushkarani was created using velayudham to get water for Siva Pujai.
Varadakaram – i’ll save you, you hold onto my feet.
Panchalingam behind Murugan in tiruchendur. Puja is not done to Panchalingam hence it’s murugan himself who does puja to them.
Two places where Murugan shows how to do Siva Pujai
Tirucheingallur – tharugan / krounjan
Tiruchendur – suran / singamugan
Devadakshan – celestial carpenter who makes the siva lingam on orders of Murugan. Kandapuranam
Pillaiyar/ Ganesha has only 2 hands because he’s showing how to do Siva pujai. It’s actually sivan koil where Meenakshi Sundareswarar resides. One should siva pujai without fail is what Pillaiyarpati shows.
Los festivales son fuentes de alegría para todos. Existen en todos los países, en todos los niveles de la sociedad, en todas las razas, y han existido a lo largo de todas las edades. Si el hombre ha sido descrito como un animal social, los festivales son una oportunidad para una reunión alegre y cercana para los miembros del grupo social, y dan plena expresión al instinto social.
Los festivales parecen ser universales. Han sido naturales para el hombre en todos los climas, en el pasado y en el presente. La alegría es inherente al ser humano y es sólo cuando hay un obstáculo para su realización y experiencia que surge la tristeza. El dolor no es inherente al hombre. La expresión de alegría es alegría, y regocijarse no significa uno sino varios, significa sociedad. El dolor se vuelve cada vez menos opresivo cuando se comparte con los demás, mientras que la alegría aumenta al compartir con los demás. Esta es la razón por la cual las penas como la muerte y la alegría como en una boda son eventos sociales en todo el mundo.
La expresión de la mayor alegría y la ocasión de la misma se llama festival. Lo mejor de cualquier nación solo se puede ver en sus fiestas y festivales. Estos a su vez implican camaradería, un sentido de camaradería y compartir; en definitiva, es en cierto modo la expresión de algunos de los mejores rasgos del hombre. El hombre primitivo o el hombre civilizado, todos amaban las fiestas y la alegría. El hambre ha hecho al hombre sin duda inventivo, pero esta alegría inherente a las festividades grupales y la alegría ha hecho que el hombre sea culto y civilizado.
La palabra tamil para festival es Vizha (vizhavu); fluye de la raíz, vizhai, al deseo y al amor; el nombre significa lo deseado, el objeto celebrado. Por lo tanto, cuando se desarrolla el amor cercano, se expresa en forma de festivales y celebraciones. La palabra sánscrita es utsava (fiesta, jubileo) que se deriva de una raíz que significa elevarse hacia arriba; así que sube, sube. También en el idioma inglés, las dos palabras celebración (feliz cumpleaños religioso) y festival (celebración) son muy similares. Todo esto tiene la connotación general de una celebración. Vizha también se llama Kondattam, esa palabra que contiene el elemento adicional de la danza.
No es posible entrar en la cuestión de qué impulsa al hombre a celebrar algo y qué le da alegría. La misma reunión despierta alegría espontánea. No podemos profundizar en el tema y tratar de ver la razón detrás de una celebración. Cualquier cosa que dé alegría, el hombre continúa haciéndolo, y así las fiestas han echado raíces: ocasiones alegres y ocasiones de festividad, sin duda como el parto, el matrimonio, etc. La literatura tamil destacó casos en los que incluso las guerras habían sido ocasiones para festividades.
La muerte es por naturaleza lo opuesto a la alegría y, por lo tanto, podemos creer que fue solo una ocasión para el luto. Pero, de hecho, este no es el caso. El duelo se limita a un período de 15 días; entonces el luto se detiene y comienzan las festividades. Las razones no están lejos de buscar. Es que no se debe permitir que nadie se sumerja en el luto durante mucho tiempo. Hay que salir de ella y normalizarse, disfrutando de los placeres de la vida. Por lo tanto, en cada caso de muerte, hay una ceremonia en un día en particular (10, 15 o 16) después de la cual no hay luto. La segunda razón es nuestra fe en la indestructibilidad del alma. El alma que habita este cuerpo ahora lo ha abandonado, para asumir otro cuerpo. ¿Por qué entonces necesitamos llorar durante mucho tiempo?
Así que los festivales continúan. Los hombres de la vieja sociedad agraria siempre salían a trabajar y así las festividades se convirtieron en la principal preocupación de las mujeres que se quedaban atrás. En el pasado, hasta el movimiento de liberación, las mujeres habían sido de naturaleza sacrificial, siempre trabajando y manteniendo la casa cálida y agradable tanto para sus maridos como para sus hijos. Kural diría que el deber del dueño de la casa (grhasta, illarattan) era cuidar de los cinco: las crines (que viven en las regiones del sur), las deidades, el huésped, la familia y la familia. Este deber ha sido cumplido con razón por las mujeres. Es también el secreto de la continuidad del patrimonio de los festivales y su éxito.
Ahora, cada ocasión importante en la vida de un individuo desde el nacimiento hasta la muerte es una fiesta o ritual doméstico. De hecho, estos rituales comienzan incluso antes del nacimiento. Durante el embarazo, hay kappu Valaiyal, también conocido como poo-chututal, {una especie de Raksha bandhanam). Luego, a su debido tiempo, el nacimiento, el namakarana o el nombre del niño, tal vez con el primero montado en la cuna, molesto para las orejas y la celebración del primer aniversario del nacimiento del niño. El annap-prasana o el día de alimentar con arroz al bebé, luego el upakarma en los brahmanes, colocar al niño en la escuela y finalmente el matrimonio. Son un total de dieciséis y cada uno es hasta cierto punto, grande o pequeño, un festival nacional.
Los ciclos de eventos naturales son en sí mismos grandes eventos. El amanecer y el atardecer requieren oraciones especiales, Sandhyavandana; del mismo modo, la luna nueva y los días de luna llena requieren una tarppana especial. Veremos más adelante el papel que juegan los días de luna llena, etc. cuando se trata de vacaciones. Lo mismo ocurre con los equinoccios o ayanas, y los eclipses. Todo esto requiere baños especiales en un río o en el mar. Eclipses: aunque reconocidos como simples fenómenos naturales por astrólogos y creadores de calendarios en el pasado, todavía han sido la fuente de muchas leyendas románticas. Muchas ocasiones simbolizan las celebraciones de la familia, como los Pongals, que realmente celebran las operaciones agrícolas. Adipperukku también es similar, lo que indica el comienzo de la agricultura, mientras que el otro, pongal, celebra su apogeo.
En el medio, tenemos los días de grandes héroes y formas de deidades celebradas como Ganesa, Sarasvati y Durga, Krishna, Muruha, Nataraja y Vishnu, y Siva y Rama. Una cosa, sin embargo, debe tenerse claramente en cuenta. Aunque aquí tenemos adoración y fiesta para muchas formas de deidades, esto no cambia el concepto básico del hinduismo; es decir, sólo hay un Dios sin un segundo. Por lo tanto, este libro trata solo de festivales hindúes, Saiva y Vaishnava, además de un gran número de festivales no religiosos o sociales. Estos, por supuesto, pueden ser generales a toda la India, pero particulares a Tamil Nadu. A diferencia de los demás, cristianos y musulmanes, estos eran nativos de suelo indio y pertenecían a la India y Tamilnadu. Las familias que se habían convertido a otras religiones, todavía se pueden encontrar para celebrar algunas de estas fiestas como el Día de Año Nuevo Tamil, Dipavali y Pongal.
Se recordará que tanto las religiones jainismo como el budismo tuvieron alguna moneda de cambio en Tamilnadu durante algunos siglos durante el primer milenio dC. De ambas religiones, la moda jainista fue la religión estatal durante algún tiempo en Madurai la capital Pandiya y Kanchi la capital Pallava. Debido a esta posición, la religión puede haber contribuido en pequeña medida al arte y la cultura de la época. La contribución al arte tomó la forma de escultura, arquitectura y pintura. Pero el jainismo digambara en Tamilnadu era una religión que negaba la vida y, por lo tanto, tal vez, aunque había templos y festivales de templos a pequeña escala, no podría haber contribuido apreciablemente a la alegría de la vida pública y sus festividades y festivales, las oportunidades para regocijarse. La música era prácticamente tabú en el jainismo de Tamilnadu, y las mujeres se mantenían bajo el pulgar, porque era una doctrina ineludible con los jainistas, que las mujeres y la música debían ser reprimidas porque eran obstáculos para el progreso espiritual. Por lo tanto, aunque el jainismo fue la religión del estado durante algún tiempo, no dejó ninguna marca o tuvo ningún impacto en la vida del pueblo tamil en general. Todavía podrían ser una fuerza a tener en cuenta en otras partes de la India, pero no en Tamilnad. Por lo tanto, no tenemos nada que decir sobre los festivales jainistas en Tamilnad.
Lo mismo ocurre con el budismo. Nunca ha sido una religión estatal aquí y su marca en la sociedad hindú fue mucho menor, por lo que no tenemos nada que decir sobre los festivales de Buda. Sin embargo, la Unión India ha tomado el aniversario de vaisaka suddha Poornima, como un festival nacional y sus ecos ciertamente se escuchan en Tamilnad.
Entre los festivales meticulosamente tratados aquí, bajo los diversos, predominan. los festivales Vinayaka, Saiva, Skanda, Sakti se pueden colocar bajo el Saivismo, mientras que Krishna y Rama y otros como Vaikuntha-Ekadasi y Kaisika Ekadasi caerán bajo el Vaishnavismo. Sarasvati, el día de Año Nuevo y el pongal pertenecen a ambos. Pero todo esto en realidad no resta valor al concepto del Dios Único en el hinduismo. Sólo hay un Dios sin un segundo. Todo lo que se dice en los diferentes nombres como Ganapati, Muruha, Durga, Vishnu, Krishna, Nataraja, Surya o Siva, todo va al Único Supremo, del cual todos se entienden bien como formas simplemente manifiestas.
Hay continuidad en las celebraciones del festival y la cultura del festival de Tamilnadu que apenas se encuentra en otros lugares. Varios factores han contribuido a esta continuidad. El factor principal es la gran cantidad de templos que salpican el país. Incluso las aldeas pequeñas tienen grandes templos en Siva y Vishnu. Todos los festivales del templo involucran a toda la sociedad alrededor, a través de aradhana diaria, procesión, música especialmente nagasvaram, canto de canciones devocionales, distribución de prasadams, etc. El segundo factor es que las religiones extranjeras no habían tenido una gran influencia en Tamilnad. Hubo un gobierno jainista en Madurai durante unos siglos que los historiadores llaman la Edad Oscura en Pandinad. Una vez más, también hubo un dominio musulmán allí durante un corto período de aproximadamente medio siglo. Pero Cholanad, que era el guardián de la cultura de la tierra, fue gobernado continuamente por gobernantes hindúes. Después de los Cholas, el Imperio Vijayanagar, luego los Nayaka los Mahrattas, hasta que el último gobernante Mahratta cedió sus tierras a los británicos. Entonces no hubo opresión religiosa extranjera y este fue un factor importante en la continuidad de las fiestas.
Además, las canciones de los Nayanmar y Alvar en los templos eran otra fuerza integradora de permanencia. Todo esto ha contribuido a la conservación de la cultura de campo intacta.
Los avances científicos modernos han añadido una nueva dimensión a la celebración de festivales y es la abolición de la distancia. Los medios de comunicación como la radio, la televisión y el periódico lo llevan alos centros de festivales en poco tiempo o llevan los festivales a nuestra puerta. Por lo tanto, la distancia se salva, y se nos dan los medios para comprender a los demás en diferentes climas y lugares.
Las oportunidades para comprender y difundir la paz y la buena voluntad han sido llevadas a sus propias puertas y esto ciertamente conducirá a la plena realización del bardo de hace dos mil años que declaró “que el mundo entero es un padre, y que cada lugar es mi lugar”.
Les festivals sont des fontaines de joie pour tous. Ils existent dans tous les pays, à tous les niveaux de la société, dans toutes les races, et ont existé à travers tous les âges. Si l’homme a été décrit comme un animal social, les festivals sont l’occasion d’un rassemblement joyeux et étroit pour les membres du groupe social, et ils donnent pleine expression à l’instinct social.
Les festivals semblent être universels. Ils ont été naturels à l’homme à tous les climats, dans le passé et dans le présent. La joie est inhérente à l’être humain et ce n’est que lorsqu’il y a un obstacle à son accomplissement et à son expérience que le chagrin surgit. Le chagrin n’est pas inhérent à l’homme. L’expression de la joie est la joie, et se réjouir ne signifie pas un mais plusieurs, signifie la société. Le chagrin devient de moins en moins oppressant lorsqu’il est partagé avec les autres, tandis que la joie augmente en partageant avec les autres. C’est la raison pour laquelle les chagrins comme la mort, et la joie comme lors d’un mariage, sont tous des événements sociaux dans le monde entier.
L’expression de la plus grande joie et l’occasion de celle-ci s’appelle un festival. Le meilleur de n’importe quelle nation ne peut être vu que dans ses fêtes et ses festivals. Ceux-ci impliquent à leur tour une camaraderie, un sentiment de camaraderie et un partage; en bref, c’est en quelque sorte l’expression de certains des meilleurs traits de l’homme. L’homme primitif ou l’homme civilisé, chacun a aimé les fêtes et la joie. La faim a rendu l’homme sans doute inventif, mais cette joie inhérente aux festivités de groupe et à la joie a rendu l’homme cultivé et civilisé.
Le mot tamoul pour festival est Vizha (vizhavu); cela découle de la racine, vizhai, au désir et à l’amour; le nom signifie la chose désirée, l’objet célébré. Ainsi, lorsque l’amour étroit se développe, il s’exprime sous la forme de festivals et de célébrations. Le mot sanskrit est utsava (fête, jubilé) qui est dérivé d’une racine signifiant s’élever vers le haut; donc, cela monte, s’élève. Dans la langue anglaise aussi, les deux mots fête (joyeux anniversaire religieux) et festival (célébration) sont très similaires. Tout cela a la connotation générale d’une célébration. Vizha est également appelé Kondattam, ce mot qui contient l’élément supplémentaire de danse.
Il n’est pas possible d’entrer dans la question de savoir ce qui pousse l’homme à célébrer une chose et ce qui lui donne de la joie. Le rassemblement même suscite une joie spontanée. Nous ne pouvons pas approfondir la question et essayer de voir la raison derrière une célébration. Tout ce qui donne de la joie, l’homme continue de le faire, et ainsi les fêtes ont pris racine – des occasions joyeuses et des occasions de festivité sans doute comme l’accouchement, le mariage et ainsi de suite. La littérature tamoule soulignait des cas où même les guerres avaient été des occasions de festivités.
La mort est par nature le contraire de la joie et nous pouvons donc croire qu’elle n’était qu’une occasion de deuil. Mais en fait, ce n’est pas le cas. Le deuil est limité à une période de 15 jours; puis le deuil s’arrête et les festivités commencent. Les raisons ne sont pas loin à chercher. C’est que personne ne devrait être autorisé à être plongé dans le deuil pendant longtemps. Il faut en sortir et devenir normal, en profitant des plaisirs de la vie. Par conséquent, dans chaque cas de décès, il y a une cérémonie un jour particulier (10, 15 ou 16) après laquelle il n’y a pas de deuil. La deuxième raison est notre foi en l’indestructibilité de l’âme. L’âme qui habite ce corps l’a maintenant abandonné, pour prendre un autre corps. Pourquoi alors avons-nous besoin de faire notre deuil longtemps?
Donc, les festivals continuent. Les hommes de l’ancienne société agraire sortaient toujours pour travailler et les festivités devenaient donc la principale préoccupation des femmes qui restaient derrière. Dans le passé, jusqu’au mouvement de libération, les femmes avaient été de nature sacrificielle, travaillant toujours et gardant la maison chaude et agréable à la fois pour leurs maris et pour leurs enfants. Kural dirait que le devoir du propriétaire de la maison (grhasta, illarattan) était de prendre soin des cinq – les crinières (vivant dans les régions du sud), les divinités, l’invité, la famille et la famille. Ce devoir a été rempli à juste titre par les femmes. C’est aussi le secret de la continuité du patrimoine des festivals et de leur succès.
Maintenant, chaque occasion importante dans la vie d’un individu de la naissance à la mort est une fête ou un rituel domestique. En fait, ces rituels commencent avant même la naissance. Pendant la grossesse, il y a le Kappu Valaiyal, également connu sous le nom de poo-chututal, {une sorte de Raksha bandhanam). Puis, en temps voulu, la naissance, le namakarana ou le nom de l’enfant, peut-être avec la première mise en place sur le berceau, ennuyeux pour les oreilles et la célébration du premier anniversaire de la naissance de l’enfant. L’annap-prasana ou le jour de l’alimentation du riz au bébé, puis l’upakarma chez les brahmanes, en plaçant l’enfant à l’école, et enfin le mariage. Ce sont un total de seize et chacun est dans une certaine mesure, grand ou petit, un festival national.
Les cycles des événements naturels sont eux-mêmes de grands événements. Le lever et le coucher du soleil appellent à des prières spéciales, Sandhyavandana; de même, la nouvelle lune et les jours de pleine lune appellent à un tarppana spécial. Nous verrons plus tard le rôle joué par les jours de pleine lune, etc. en matière de fêtes. Il en va de même pour les équinoxes ou ayanas, et les éclipses. Tout cela nécessite des bains spéciaux dans une rivière ou la mer. Les éclipses: bien que reconnues comme de simples phénomènes naturels par les astrologues et les fabricants de calendriers dans le passé, ont encore été la source de nombreuses légendes romantiques. De nombreuses occasions symbolisent les réjouissances de la famille, comme les Pongal, qui célèbrent vraiment les opérations agricoles. Adipperukku est également similaire, indiquant le début de l’agriculture tandis que l’autre, pongal, célèbre son apogée.
Entre les deux, nous avons les jours de grands héros et de formes de divinités célébrées telles que Ganesa, Sarasvati et Durga, Krishna, Muruha, Nataraja et Vishnu, et Siva et Rama. Une chose doit cependant être clairement gardée à l’esprit. Bien que nous ayons ici le culte et la fête pour de nombreuses formes de divinités, cela ne modifie pas le concept de base de l’hindouisme; à savoir qu’il n’y a qu’un seul Dieu sans une seconde. Ce livre ne traite donc que des fêtes hindoues, Saiva et Vaishnava, en plus d’un grand nombre de fêtes non religieuses ou sociales. Ceux-ci peuvent bien sûr être généraux à l’ensemble de l’Inde mais particuliers au Tamil Nadu. Contrairement aux autres, chrétiens et musulmans, ceux-ci étaient originaires du sol indien et appartenaient à l’Inde et au Tamilnadu. Les familles qui s’étaient converties aux autres religions, peuvent encore être trouvées pour célébrer certaines de ces fêtes comme le Jour de l’An tamoul, Dipavali et Pongal.
On se souviendra que les deux religions jaïnisme et bouddhisme avaient une certaine monnaie d’échange au Tamilnadu pendant quelques siècles au cours du premier millénaire après Jésus-Christ. Des deux religions, la mode jaïnisme a été la religion d’État pendant un certain temps à Madurai la capitale Pandiya et à Kanchi la capitale Pallava. En raison de cette position, la religion avait pu contribuer dans une faible mesure à l’art et à la culture de l’époque. La contribution à l’art a pris la forme de la sculpture, de l’architecture et de la peinture. Mais le jaïnisme Digambara au Tamilnadu était une religion qui niait la vie et donc peut-être, bien qu’il y ait eu des temples et des festivals de temples à petite échelle, il n’aurait pas pu contribuer de manière appréciable à la joie de la vie publique et à ses réjouissances et festivals, les occasions de se réjouir. La musique était pratiquement taboue dans le jaïnisme du Tamilnadu, et les femmes étaient gardées sous le pouce, car c’était une doctrine inéluctable avec les Jaïns, que les femmes et la musique doivent être réprimées parce qu’elles étaient des obstacles au progrès spirituel. Par conséquent, bien que le jaïnisme ait été la religion d’État pendant un certain temps, il n’a laissé aucune marque ni eu aucun impact sur la vie du peuple tamoul en général Il n’y a pas eu de festivals ou de réjouissances dignes de ce nom qui avaient pris racine dans la société à cause des Jaïns. Ils pourraient encore être une force avec laquelle il faut compter dans d’autres parties de l’Inde, mais pas dans le Tamilnad. Par conséquent, nous n’avons rien à dire sur les festivals jaïns du Tamilnad.
Il en va de même pour le bouddhisme. Cela n’a jamais été une religion d’État ici et sa marque sur la société hindoue était beaucoup moins, nous n’avons donc rien à dire sur les fêtes de Bouddha. Cependant, l’Union indienne a pris l’anniversaire du Vaisaka suddha Poornima, comme un festival national et ses échos sont certainement entendus dans le Tamilnad.
Parmi les festivals minutieusement traités ici, sous les divers, prédominent. les festivals Vinayaka, Saiva, Skanda, Sakti peuvent être placés sous le Saïvisme, tandis que Krishna et Rama et d’autres comme Vaikuntha-Ekadasi et Kaisika Ekadasi tomberont sous le Vaishnavisme. Sarasvati, jour de l’an et pongal appartiennent aux deux. Mais tout cela en réalité n’enlève rien au concept de Dieu Unique dans l’hindouisme. Il n’y a qu’un seul Dieu sans une seconde. Tout ce qui est dit dans les différents noms comme Ganapati, Muruha, Durga, Vishnu, Krishna, Nataraja, Surya ou Siva – tout va à l’Unique Suprême, dont ils sont tous bien compris comme étant simplement des formes manifestes.
Il y a une continuité dans les célébrations du festival et la culture du festival du Tamilnadu qui ne se trouve guère ailleurs. Plusieurs facteurs ont contribué à cette continuité. Le facteur principal est le grand nombre de temples qui parsèment le pays. Même les petits villages ont de grands temples à Siva et Vishnu. Tous les festivals du temple impliquent toute la société autour, à travers l’aradhana quotidien, la procession, la musique en particulier le nagasvaram, le chant de chants dévotionnels, la distribution de prasadams, etc. Le deuxième facteur est que les religions étrangères n’avaient pas eu une grande influence sur le Tamilnad. Il y a eu la domination jaïne à Madurai pendant quelques siècles que les historiens appellent l’âge des ténèbres à Pandinad. Encore une fois, il y avait aussi une domination musulmane là-bas pendant une courte période d’environ un demi-siècle. Mais Cholanad, qui était le gardien de la culture de la terre, était gouverné continuellement par des dirigeants hindous. Après les Cholas, l’empire Vijayanagar, puis les Nayaka les Mahrattas, jusqu’à ce que le dernier souverain Mahratta cède ses terres aux Britanniques. Ensuite, il n’y avait pas d’oppression religieuse étrangère et c’était un facteur important dans la continuité des fêtes.
En outre, les chants des Nayanmar et des Alvar dans les temples étaient une autre force intégratrice de permanence. Tout cela a contribué à la conservation de la grande culture intacte.
Les progrès scientifiques modernes ont ajouté une nouvelle dimension à la célébration des festivals et c’est l’abolition de la distance. Des moyens de communication comme la radio, la télévision et le journal vous emmènent dans les centresde festivals en un rien de temps ou amènent les festivals à nos portes. La distance est ainsi comblée, et on nous donne les moyens de comprendre les autres dans différents climats et lieux.
Des occasions de compréhension et de diffusion de la paix et de la bonne volonté ont été apportées à ses propres portes et cela aboutira certainement à la pleine réalisation du barde d’il y a deux mille ans qui a déclaré « que le monde entier est parent, et que tout endroit est ma place ».